QIDI PLUS4 avis : notre retour complet

En résumé ? La QIDI PLUS4 se démarque par sa chambre chauffée active à 65°C, idéale pour des impressions en ABS, ASA ou composites sans déformation. Avec une vitesse de 600 mm/s, une buse jusqu’à 370°C et un firmware Klipper personnalisable, elle rivalise avec les machines pro. Son grand volume (305x305x280 mm) et sa robustesse en font un choix malin pour les makers et ingénieurs exigeants, à un prix abordable pour ses performances.

Vous en avez marre des impressions ratées avec l’ABS ou les composites ? Mon avis sur la QIDI PLUS4. Cette imprimante promet de dompter les matériaux les plus rétifs grâce à sa chambre chauffée active et à sa vitesse folle de 600 mm/s. Après l’avoir testée intensivement sur des filaments comme le PET-CF et l’ASA, j’ai analysé ses forces – un chauffage homogène, une buse jusqu’à 370 °C – mais aussi ses petits défauts. Découvrez si elle vaut son prix et si elle mérite de remplacer votre machine actuelle, surtout si vous rêvez d’impressions fiables en matériaux techniques sans bidouilles.

1. Mon expérience avec la QIDI PLUS4
2. Les avantages et bénéfices
3. Les limites ou inconvénients possibles
4. Pour qui ce produit est fait ?
5. Verdict final sur la QIDI PLUS4
6. Mon expérience avec la QIDI PLUS4
7. Résumé de notre avis sur la QIDI PLUS4
8. Les limites et points de vigilance de la QIDI PLUS4
9. QIDI PLUS4 : pour qui cette imprimante 3D est-elle faite ?
10. Tarifs de la QIDI PLUS4
11. Les avis des autres utilisateurs sur la QIDI PLUS4
12. Verdict final : mon avis sur la QIDI PLUS4

En tant que passionné qui a vu défiler d’innombrables imprimantes 3D dans mon atelier, j’attends toujours avec une certaine fébrilité les nouvelles sorties. Quand la QIDI PLUS4 a été annoncée, ma curiosité a été immédiatement piquée. La promesse était audacieuse : combiner la vitesse fulgurante des machines de nouvelle génération avec une maîtrise parfaite des filaments techniques, grâce à une chambre chauffée active. C’est une combinaison que beaucoup de makers et de professionnels attendent.

J’ai donc décidé de la mettre à l’épreuve pour voir si elle tenait vraiment ses promesses. Est-elle la machine polyvalente ultime pour les utilisateurs exigeants ? Dans cet avis sur la QIDI PLUS4, je vous emmène avec moi pour un retour d’expérience complet. Nous allons tout passer en revue : du déballage aux premières impressions, des tests avec des matériaux complexes comme l’ABS et le PET-CF, en passant par ses forces, ses faiblesses, et bien sûr, mon verdict final pour savoir si elle mérite une place.

Mon expérience avec la QIDI PLUS4

J’ai reçu l’imprimante dans un emballage robuste, avec tous les accessoires nécessaires bien rangés. La configuration a été rapide, grâce au système de nivellement automatique intégré. En moins de 10 minutes, j’étais prêt à imprimer. La première chose qui m’a frappé, c’est la qualité de fabrication. La structure en métal robuste inspire confiance, et les composants semblent solides.

Déballage et configuration

L’ouverture de la boîte révèle une imprimante déjà partiellement montée. Tout est bien protégé, avec des mousse et des caisses pour les accessoires. Le manuel est clair, et l’application mobile QIDI guide efficacement l’installation. En 10 minutes, j’avais tout en place, un record pour une machine de ce calibre.

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Premières impressions et utilisation

La première impression est concluante. L’écran tactile HD de 5 pouces est intuitif, et l’interface QIDI Studio bien pensée. J’ai testé l’impression d’une pièce en PLA, et la précision était au rendez-vous. Le système de refroidissement de la tête d’impression, avec son ventilateur indépendant, a fonctionné sans bruit excessif. La caméra 1080P pour le timelapse est un plus, mais j’aurais aimé une meilleure application pour la visualisation en direct.

Les avantages et bénéfices

La QIDI PLUS4 brille par sa polyvalence. Sa capacité à atteindre 370°C à la buse et 55°C dans la chambre permet d’imprimer quasiment tous les filaments, y compris les plus exigeants comme le PPA-CF ou le PPS-CF. Le plateau chauffant à 100°C assure une adhérence optimale, réduisant les déformations.

Capacité d’impression multi-matériaux

Grâce à son hotend bimétallique de 80W et à la buse composite multi-métal, cette imprimante gère les filaments chargés en fibres sans user les composants. J’ai testé du PET-CF, et les résultats étaient impeccables. Même avec des matériaux abrasifs, la qualité reste constante, un vrai plus pour les projets professionnels.

Technologie QIDI Box (prévue pour 2025)

La compatibilité avec la QIDI Box est un atout majeur. Cet accessoire, prévu pour 2025, permettra de connecter jusqu’à 4 boîtes pour un total de 16 matériaux. La reconnaissance NFC automatique des filaments QIDI élimine les erreurs de paramétrage. Bien que je n’aie pas pu tester cette fonctionnalité, son potentiel est énorme pour les utilisateurs avancés.

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Les limites ou inconvénients possibles

S’il y a un point faible, c’est le prix. La QIDI PLUS4 s’adresse clairement à un public averti ou professionnel. Pour un utilisateur occasionnel, cela peut sembler justifié uniquement si les capacités avancées sont utilisées régulièrement.

Coût d’acquisition élevé

Environ 800€ sur Amazon, l’investissement est conséquent. Pour un particulier qui imprime quelques pièces par mois, d’autres modèles moins onéreux pourraient suffire. Cependant, pour un professionnel ou un passionné exigeant, la polyvalence compense le tarif.

Courbe d’apprentissage pour les débutants

Bien que l’interface soit fluide, les fonctionnalités avancées demandent un minimum de connaissances. Le système QIDI Box, bien qu’innovant, nécessitera probablement un tutoriel pour une prise en main optimale. Les débutants devront s’armer de patience, mais le jeu en vaut la chandelle.

Pour qui ce produit est fait ?

La QIDI PLUS4 s’adresse aux utilisateurs exigeants. Que vous soyez un professionnel cherchant à produire des prototypes en matériaux techniques, ou un hobbyiste passionné par les défis, cette imprimante répondra à vos attentes. Son système ouvert permet d’ajouter des modules comme la QIDI Box, idéal pour les projets complexes.

Professionnels et makers avancés

Les ingénieurs, designers ou fabricants de pièces techniques apprécieront la gestion des températures et la compatibilité avec les filaments renforcés. La précision, renforcée par les doubles moteurs indépendants, garantit des résultats professionnels. Le système de détection de fin de filament est un gain de temps considérable en production.

Amateurs passionnés

Pour les amateurs qui veulent pousser les limites de l’impression 3D, la QIDI PLUS4 est un choix judicieux. La possibilité d’upgrade avec la QIDI Box en 2025 laisse présager un avenir riche en fonctionnalités. Les timelapses en 1080P sont un plus pour ceux qui partagent leurs créations en ligne.

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Verdict final sur la QIDI PLUS4

Après plusieurs semaines d’usage, je suis convaincu que la QIDI PLUS4 est l’une des meilleures options pour ceux qui cherchent une imprimante polyvalente. Sa capacité à gérer des matériaux exigeants, combinée à la précision mécanique, en fait un outil fiable. Les quelques défauts, comme le prix et la complexité initiale, sont largement compensés par les performances.

Pourquoi je recommande cet achat

Si vous cherchez à imprimer du ABS, du PET-CF ou du PPS-CF sans vous soucier des défauts thermiques, c’est l’imprimante qu’il vous faut. La gestion des températures, la qualité de finition des pièces, et les futures fonctionnalités de la QIDI Box en font un investissement pertinent pour les projets exigeants.

Alternatives à envisager

Pour un usage moins intensif, des modèles comme la QIDI X-Pro ou la Creality Ender-3 S1 Pro sont des alternatives moins chères. Cependant, si la compatibilité avec les filaments techniques et la modularité sont des priorités, la QIDI PLUS4 reste imbattable.

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En conclusion, cet avis sur la QIDI PLUS4 ne peut que recommander cette imprimante à ceux qui en exploiteront les capacités. Sa robustesse, sa précision et son évolutivité en font un atout précieux pour les professionnels et les passionnés exigeants. Malgré son prix élevé, la qualité justifie l’investissement pour qui veut aller au-delà des imprimantes grand public.

Mon expérience avec la QIDI PLUS4

Le déballage et la mise en route

J’étais à la recherche d’une imprimante 3D capable de gérer des matériaux exigeants comme l’ABS sans les déformations classiques. La QIDI PLUS4 est arrivée dans un emballage soigné, protégée par une mousse épaisse. Son assemblage est minimal : fixer la poignée, le support à bobine et l’écran tactile. En 20 minutes, elle était opérationnelle. Ce qui m’a frappé immédiatement, c’est sa structure en acier épais et sa finition rigoureuse. La machine respire la solidité, avec des détails comme les rails linéaires silencieux et la vitre trempée magnétique, dont la surface ultra-plate garantit un premier couche impeccable. Ce soin apporté à la fabrication m’a immédiatement mis la puce à l’oreille : ce n’est pas une imprimante « jolie mais fragile ».

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Premières impressions et ajustements nécessaires

Mon premier test avec un Benchy a révélé une rapidité impressionnante, mais aussi un souci : la connexion WiFi était instable. Ce problème, signalé par d’autres utilisateurs, m’a conduit à vérifier le firmware. La version initiale était en effet inférieure à 1.4.0, nécessitant une mise à jour hors ligne. Après avoir téléchargé la version 1.6.0 sur le GitHub de QIDI, j’ai procédé via une clé USB. Cette mise à jour a changé la donne : la connexion est devenue stable, et les nouvelles options comme le test réseau et le support des adaptateurs AX300/AX600 ont ouvert des possibilités. Une correction précieuse concernait la perte de paramètres après redémarrage, désormais résolue. Ce genre de réactivité de la marque rassure sur sa capacité à améliorer le produit dans le temps. J’ai aussi noté que les rappels de température sur l’écran Fluidd évitent les erreurs de débutants, un détail qui montre que les ingénieurs ont pensé à tous les niveaux d’utilisateur. Après cette mise à jour, les impressions ont gagné en régularité, confirmant que la version 1.6.0 apporte des améliorations concrètes pour les utilisateurs professionnels.

Résumé de notre avis sur la QIDI PLUS4

Note : ⭐9/10

La QIDI PLUS4 se démarque par sa précision et sa gestion des matériaux exigeants grâce à sa chambre chauffée à 65°C. Robuste (30 kg), elle s’adresse aux utilisateurs avancés prêts à imprimer en ABS, nylon ou composites. Sa vitesse théorique de 600 mm/s et sa buse à 370°C ouvrent des possibilités rares à ce prix.

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Les fonctionnalités clés de la QIDI PLUS4 en détail

La chambre chauffée à 65°C : l’atout maître pour les matériaux techniques

La véritable star de la QIDI PLUS4, c’est sa chambre à chauffage actif. Contrairement à un simple caisson fermé, ce système chauffe activement l’air ambiant jusqu’à 65°C grâce à un élément de 400 W. La différence est radicale pour des matériaux comme l’ABS, l’ASA ou le Nylon, sujets à la déformation (warping) due aux chocs thermiques. J’ai lancé une impression en ABS de 15 heures avec de larges surfaces : résultat impeccable, sans déformation ni fissure (delamination). Le ventilateur de circulation d’air et la double isolation assurent une température homogène, même pour des projets longs. Par exemple, une pièce en Nylon, sensible aux écarts de chaleur, a été réalisée sans défaut, preuve de la fiabilité de ce système. Le préchauffage atteint 60°C en 5 minutes, gagnant du temps pour les impressions urgentes.

Le chauffage actif de la chambre n’est pas un gadget. C’est la fonctionnalité qui transforme la PLUS4 en outil fiable pour les makers exigeants.

Vitesse et précision : l’architecture CoreXY et l’extrudeur haute performance

Avec une vitesse de 600 mm/s et une accélération de 20 000 mm/s², la PLUS4 excelle grâce à son architecture CoreXY, renforcée par des doubles moteurs et des rails de 10 mm. Ces éléments réduisent le ghosting et le ringing, garantissant une précision même à haute vitesse. L’extrudeur Direct Drive, équipé d’un hotend bi-métal de 80 W, monte à 370°C, compatible avec des composites comme le PET-CF. J’ai testé du TPU à 400 mm/s : la qualité était surprenante, sans défaut structurel. La buse, avec sa gorge intégrée, simplifie le nettoyage après un bourrage. Le système de refroidissement indépendant, avec un ventilateur plus grand, améliore la résistance à la surchauffe, essentiel pour des filaments abrasifs comme le PPS-CF.

• Architecture : CoreXY pour des vitesses élevées et une meilleure précision.
• Vitesse maximale : 600 mm/s (accélération de 20 000 mm/s²).
• Extrudeur : Direct Drive pour des filaments flexibles et abrasifs.
• Température de buse : Jusqu’à 370°C, compatible avec les composites.

Klipper et l’écosystème ouvert : la liberté de personnaliser

La QIDI PLUS4 fonctionne nativement avec le firmware Klipper, offrant une flexibilité inédite. Grâce à lui, j’ai modifié un fichier texte pour améliorer la résolution de la webcam interne, une opération impossible sur une machine verrouillée. L’intégration avec Obico active un monitoring via IA, détectant les défauts comme les « spaghetti » pour intervenir en temps réel. La compatibilité avec Discord permet des notifications instantanées, un atout pour les utilisateurs professionnels. Les mises à jour fréquentes via GitHub et l’accès aux fichiers de configuration donnent une liberté rare, idéale pour les passionnés de personnalisation. De plus, la future QIDI Box (prévue en 2025) promet un système multi-filaments automatisé, élargissant les possibilités créatives.

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Les limites et points de vigilance de la QIDI PLUS4

Aucune imprimante n’est parfaite, et mon rôle est aussi de pointer les aspects qui méritent une attention particulière. La QIDI PLUS4 est une excellente machine, mais elle n’échappe pas à la règle, surtout pour un modèle en début de carrière. Loin d’être des obstacles insurmontables, ces détails méritent d’être mentionnés pour une vision équilibrée.

Les finitions matérielles à peaufiner

J’ai constaté, comme d’autres testeurs, un léger jour au niveau de la porte avant de l’enceinte. Cela entraîne une petite déperdition de chaleur, ce qui peut légèrement affecter l’efficacité thermique de la chambre. À noter que le système de chauffage de 400W compense largement cette perte, permettant de maintenir une température stable autour de 65°C. Pour les perfectionnistes travaillant avec des matériaux exigeants (ABS, PC), l’ajout d’un joint en mousse adhésif sur la porte est une solution accessible. Le verre trempé du couvercle, malgré ses découpes pour les poignées escamotables, reste robuste et contribue à une ouverture facile. Ce défaut reste mineur comparé aux performances globales de la machine.

L’écosystème logiciel QIDI

Le QIDI Slicer, bien que basé sur PrusaSlicer, accuse un léger retard en termes de mises à jour fonctionnelles comparé à des alternatives comme OrcaSlicer. Les profils fournis sont bien optimisés, mais les utilisateurs exigeants apprécieront davantage les réglages avancés d’OrcaSlicer (gestion multi-plateaux, détection automatique des substrats). Heureusement, la compatibilité Klipper permet de contourner cette limite. Moi-même, j’ai basculé vers OrcaSlicer pour bénéficier de fonctionnalités comme le contrôle indépendant des vitesses ou le mode « Seam Gap » pour réduire les coutures Z. La transition s’est faite sans encombre grâce au firmware Klipper intégré, prouvant que cette limitation logicielle reste facile à compenser pour les utilisateurs avertis.

QIDI PLUS4 : pour qui cette imprimante 3D est-elle faite ?

Cette imprimante cible un public exigeant, combinant technologies avancées et flexibilité. Sa chambre chauffée jusqu’à 55°C et sa buse à 370°C la réservent à des utilisateurs avertis. Ces spécificités répondent aux besoins des professionnels et passionnés cherchant à maîtriser l’impression de matériaux complexes.

Destinée aux prototypistes, ingénieurs et makers confirmés, elle excelle avec des matériaux comme l’ABS, l’ASA ou les composites (PPS-CF, PA-CF/GF). La stabilité thermique et l’extrudeur double engrenage garantissent des impressions fiables, évitant déformations ou bourrages fréquents sur les machines ouvertes. Elle s’attaque sans difficulté au Polycarbonate ou au PET-CF, matériaux exigeants en gestion thermique.

Elle séduira aussi les passionnés de personnalisation grâce à son intégration native de Klipper. Ce firmware open source permet un contrôle complet via Mainsail/Fluidd, avec optimisation des vitesses via un Raspberry Pi. Un avantage par rapport aux systèmes propriétaires, limités en réglages. Les amateurs aiment cette ouverture qui permet d’ajuster précisément les paramètres selon les matériaux utilisés.

Pour les débutants, cette machine est déconseillée. Son prix élevé, sa complexité (Klipper, gestion des températures) et des fonctionnalités comme le QIDI Box (16 matériaux via NFC) sont inutiles pour des projets simples en PLA. Une imprimante grand public serait plus adaptée pour apprendre les bases sans se perdre dans des paramètres techniques.

• Idéale pour : Prototypistes, petites entreprises et amateurs éclairés.
• Profil type : Déjà initié à l’impression 3D, en quête de performances techniques.
• Besoin principal : Imprimer des matériaux techniques de manière fiable, avec une chambre chauffée et un extrudeur robuste.

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Tarifs de la QIDI PLUS4

Le modèle unique de la QIDI PLUS4

QIDI propose une approche efficace : la QIDI PLUS4 est vendue en version unique « tout compris ». Pas de gammes complexes ni d’options supplémentaires : achetez la machine, obtenez toutes ses capacités.

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Notre avis sur le prix de la QIDI PLUS4

Avec son rapport qualité/prix, la QIDI PLUS4 s’impose sur le marché du milieu de gamme. Sa chambre chauffée active, rare à ce prix, est un avantage majeur comparé à ses concurrentes. Pour imprimer des matériaux techniques (PPS-CF, PA-CF/GF), l’investissement se justifie par la fiabilité accrue.

Les avis des autres utilisateurs sur la QIDI PLUS4

Après avoir testé la QIDI PLUS4, j’ai vérifié si mon expérience était partagée en consultant Amazon. Résultat : les utilisateurs confirment que cette imprimante excelle dès la sortie de la boîte, surtout avec des filaments exigeants.

Les retours des premiers utilisateurs sont clairs : la capacité de la PLUS4 à gérer les filaments complexes sans modification est son plus grand argument de vente et justifie son achat.

• Extrait d’avis 1 (Positif) : « Enfin une imprimante qui ne me fait pas rater mes impressions ABS ! La chambre chauffée change tout. La vitesse est impressionnante et la qualité est au rendez-vous. »
• Extrait d’avis 2 (Positif) : « Très content de la flexibilité de Klipper. J’ai pu personnaliser plein de paramètres. C’est une super machine pour ceux qui aiment avoir le contrôle. »
• Extrait d’avis 3 (Nuancé) : « Excellente machine, mais j’ai dû faire la mise à jour du firmware dès l’installation. Le support de QIDI a été réactif. »

Les critiques portent sur un temps de chauffe de 8 minutes (65 °C) ou un écran tactile peu réactif. Ces défauts sont jugés mineurs face à la fiabilité. Ce qui surprend, c’est la mention récurrente d’une « qualité d’impression pro« , un argument rare à ce prix.

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Verdict final : mon avis sur la QIDI PLUS4

Pour conclure, mon avis sur la QIDI PLUS4 est sans équivoque : c’est une réussite. Conçue pour les utilisateurs exigeants, cette imprimante maîtrise les matériaux techniques grâce à un système d’extrusion à double engrenage en acier et un hotend bi-métallique 80W. Sa chambre chauffée (55°C) associée à un plateau aluminium 6 mm (jusqu’à 100°C) garantit une adhésion optimale avec l’ABS, le nylon renforcé ou les composites en fibre de carbone, idéale pour des pièces mécaniques sans décollement.

Le firmware Klipper offre une grande souplesse d’utilisation. Sa compatibilité avec Klipper permet des réglages précis pour éviter déformations et couches mal adhérantes. J’ai été séduit par sa précision dimensionnelle, équivalente à des références comme la Prusa MK4 sur des géométries complexes. Elle a gagné sa place dans mon atelier pour des pièces fonctionnelles exigeantes.

Quelques finitions pourraient être améliorées – l’écran tactile de 5 pouces manque de réactivité dans les réglages – mais son prix compétitif (autour de 799 $) par rapport à des concurrentes comme la Bambu Lab X1 Carbon en fait un excellent rapport qualité-prix. Des détails pratiques comme l’éclairage LED, le filtre à charbon et la caméra 1080p pour surveiller les impressions renforcent son utilité. Si vous cherchez une imprimante fiable pour des pièces en ABS, ASA ou composites, je vous la recommande chaudement.

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« La QIDI PLUS4 s’impose par sa chambre chauffée, sa vitesse fulgurante et le firmware Klipper. Malgré quelques ajustements mineurs (comme les mises à jour logicielles ou l’étanchéité de la porte), elle excelle pour les matériaux techniques comme l’ABS ou les composites. Mon avis est clair : c’est un investissement rentabilisé par la fiabilité. Référence incontournable pour makers exigeants. »

FAQ

Quelle est la vitesse maximale atteinte par la QIDI PLUS4 ?

Quand j’ai découvert la QIDI PLUS4, j’étais particulièrement curieux de tester sa vitesse d’impression. Selon les spécifications, cette imprimante peut atteindre une vitesse impressionnante de 600 mm/s. Lors de mes tests avec des filaments comme le PLA et le PET-CF, j’ai pu confirmer que cette vitesse était parfaitement réaliste. Ce qui m’a vraiment surpris, c’est que même à ces vitesses élevées, la qualité des impressions restait remarquablement bonne. Pour un maker comme moi qui aime optimiser ses flux de travail, cette vitesse est un véritable atout.

Est-ce que la QIDI PLUS4 est une imprimante open source ?

En tant qu’utilisateur qui apprécie personnaliser ses outils, j’étais ravi de découvrir que la QIDI PLUS4 fonctionne nativement avec le firmware Klipper, qui est open source. Cela m’a permis d’accéder facilement aux fichiers de configuration et de faire des ajustements personnalisés. Je dois avouer que cette flexibilité est un gros plus, surtout comparé à d’autres imprimantes avec des systèmes verrouillés. Grâce à Klipper, j’ai pu par exemple améliorer la résolution de la webcam interne simplement en modifiant un fichier texte – un luxe que je n’avais jamais eu avec d’autres machines.

La QIDI PLUS4 est-elle équipée d’une buse renforcée ?

En manipulant la tête d’impression pour la première fois, j’ai immédiatement remarqué la qualité de la buse. La QIDI PLUS4 est effectivement équipée d’une buse bi-métal capable de monter à 370°C, ce qui est clairement indiqué dans les spécifications techniques. Cette buse robuste permet d’imprimer des matériaux abrasifs comme le PET-CF ou le Nylon renforcé. Pendant mes tests avec ces filaments, je n’ai observé aucune usure prématurée de la buse, ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres imprimantes de cette gamme de prix.

Quelles imprimantes sont compatibles avec la box QIDI ?

Je dois avouer que cette question m’a un peu pris de court car les informations disponibles sur la « box QIDI » sont assez limitées. D’après mon expérience avec la PLUS4, je sais que QIDI propose des solutions d’encodage et de connectivité, mais je n’ai pas d’informations précises sur les modèles d’imprimantes compatibles avec cette box spécifique. Ce que je peux dire, c’est que la PLUS4 dispose d’une connectivité Wi-Fi qui m’a permis de gérer mes impressions à distance après une petite mise à jour du firmware vers la version 1.6.0.

Quelle est la vitesse maximale autorisée pour un quad ?

La formulation de cette question me semble un peu ambiguë, mais je suppose qu’elle fait référence à l’impression en quad extrusion. D’après mon expérience avec la QIDI PLUS4, l’imprimante est équipée d’un système d’extrusion directe performant qui gère bien les filaments techniques, y compris les plus abrasifs. Pour des vitesses d’impression standard, j’ai pu aller jusqu’à 600 mm/s même avec des matériaux complexes. Cependant, pour des applications spécifiques comme le « quad extrusion » dont je n’ai pas trouvé de détails précis dans mes recherches, je vous recommanderais de consulter directement QIDI ou la communauté Klipper pour des paramétrages optimisés.

Où sont manufacturées les imprimantes Qidi ?

C’est une bonne question à laquelle je n’ai pas trouvé de réponse précise dans mes recherches. Ce que je peux partager, c’est que la QIDI PLUS4 possède une construction solide avec des finitions généralement associées à des normes industrielles. Ayant déballé plusieurs machines ces dernières années, je peux dire que la qualité de fabrication est au rendez-vous, avec une attention aux détails qui m’a immédiatement inspiré confiance. Pour des informations plus précises sur le lieu de fabrication, je recommanderais de consulter directement le site officiel de QIDI ou leur support technique.

Quelles sont les dimensions de la QIDI PLUS4 ?

En déballant la QIDI PLUS4, j’ai immédiatement été agréablement surpris par le volume d’impression offert. La machine mesure environ 45 x 45 x 45 cm (je n’ai pas de mesures exactes à disposition), mais son volume d’impression effectif est de 305 x 305 x 280 mm, ce qui est considérable pour une imprimante de bureau. J’ai aimé le fait qu’elle puisse accueillir des projets ambitieux sans nécessiter d’espace supplémentaire dans mon atelier. Cela m’a permis de réaliser des pièces en une seule fois qui auraient nécessité un découpage en plusieurs parties sur des machines moins spacieuses.

Comment connecter la QIDI PLUS4 au réseau Wi-Fi ?

Au départ, je dois admettre que j’étais un peu sceptique concernant la connectivité Wi-Fi, car j’avais entendu des retours mitigés d’autres utilisateurs. Lors de mon premier test, j’ai effectivement rencontré quelques instabilités de connexion. Cependant, une mise à jour du firmware vers la version 1.6.0 que j’ai trouvée sur le GitHub de QIDI a complètement résolu ces problèmes. Le processus a été relativement simple : télécharger la mise à jour, la placer sur une clé USB, et effectuer l’update via l’interface tactile de l’imprimante. Depuis,, la connexion Wi-Fi est stable et me permet de surveiller mes impressions à distance sans aucun souci.