Meilleur analyseur d’air multiparamètres : le comparatif

J’ai longtemps été hanté par l’idée que l’air de mon salon pouvait être secrètement chargé de polluants invisibles, me demandant parfois si mes maux de tête récurrents n’étaient pas directement liés à ce que je respirais au quotidien. Pour en avoir enfin le cœur net, j’ai décidé de mettre à l’épreuve plusieurs modèles populaires en conditions réelles, espérant ainsi dénicher le meilleur analyseur air multiparamètres capable de lever ce doute persistant. Je vous livre ici mon verdict sans concession sur ces appareils pour vous aider à investir dans celui qui protégera véritablement la santé de votre foyer.

1. ⭐ Top 4 des meilleurs analyseurs d’air multiparamètres
2. 🧭 Quel est le meilleur analyseur d’air multiparamètres ?
3. 🧨 Verdict final
4. 🧭 Quel est le meilleur analyseur d’air multiparamètres ?
5. 🧨 Verdict final

⭐ Top 4 des meilleurs analyseurs d’air multiparamètres

1. Moniteur de Qualité de l’Air 9-en-1 : mon retour complet après test

Tout a commencé par une odeur persistante après avoir repeint la chambre du petit dernier, une inquiétude sourde qui ne me quittait pas. On nous parle sans cesse de pollution extérieure, mais je me suis rendu compte que je ne savais absolument pas ce que ma famille respirait une fois la porte fermée. Cette sensation de « neuf » était-elle synonyme de danger ? J’avais besoin de voir l’invisible.

Au déballage, je ne vais pas mentir, l’appareil fait un peu « plastique » et léger, ce qui m’a fait douter de sa robustesse au premier abord. Pourtant, une fois allumé, le grand écran LCD prend tout son sens, même de loin. La promesse inscrite sur la boîte, ce fameux « 9-en-1 », m’intriguait autant qu’elle m’effrayait : est-ce un véritable outil de diagnostic ou un gadget qui tente d’en faire trop ?

Le premier démarrage est un moment de vérité assez fascinant où l’on voit les chiffres s’affoler avant de se stabiliser. L’écran se remplit de données que je ne connaissais que de nom : le taux de CO2, les niveaux de formaldéhyde (HCHO), les mystérieux composés organiques volatils (COV) et bien sûr, les particules fines PM2.5. C’est à ce moment précis que l’air de ma maison est passé d’une notion abstraite à une réalité chiffrée.

Avantages & bénéfices observés

Après quelques jours d’utilisation intensive, le bénéfice principal saute aux yeux : c’est la prise de conscience immédiate de nos habitudes. On ne subit plus la qualité de l’air, on la comprend et on agit dessus.

Je me souviens d’un soir où je faisais griller un steak : l’appareil, posé dans le salon ouvert, s’est mis à clignoter rouge avec un taux de PM2.5 qui explosait littéralement. J’ai ouvert la fenêtre en grand, et j’ai vu les chiffres redescendre en quelques minutes, une preuve visuelle et rassurante que l’aération fonctionne. Cela rend le concept de pollution intérieure incroyablement tangible et motive à changer ses réflexes.

Ce que j’apprécie particulièrement, c’est la polyvalence extrême de ce boîtier qui centralise tout sur un seul affichage. Pas besoin de jongler entre un thermomètre, un capteur de particules et un détecteur de gaz, c’est le véritable couteau suisse de la qualité de l’air intérieur. La mesure simultanée de la température et de l’humidité est un bonus pratique qui permet aussi de gérer le confort thermique de la pièce.

Limites / Inconvénients

Soyons clairs, tout n’est pas parfait sur ce modèle, et il faut accepter certaines concessions liées à sa technologie grand public. La précision des capteurs pour les COV et le HCHO montre ses limites face à des variations très rapides ou des interférences chimiques.

Il faut bien comprendre que ce n’est pas un appareil de laboratoire certifié à plusieurs milliers d’euros, mais un indicateur de tendances. Les mesures vous donnent une alerte pertinente pour aérer, mais ne serviront pas de preuve légale en cas de litige sur la salubrité d’un logement. De plus, le manuel fourni, traduit dans un français parfois approximatif, ne facilite pas la compréhension des calibrages initiaux.

Un autre point qui m’a chiffonné est l’autonomie sur batterie qui reste assez faible pour une journée complète. Il faut vraiment le considérer comme un appareil semi-nomade que l’on laisse branché la plupart du temps pour assurer un suivi continu et fiable.

Pour qui ce produit est fait ?

C’est l’appareil parfait pour les familles soucieuses de leur santé et les personnes qui veulent un premier audit complet de leur environnement sans se ruiner. Il répond à ce besoin de « savoir » sans nécessiter de diplôme d’ingénieur.

Il est idéal pour ceux qui viennent de faire des travaux de rénovation, qui viennent d’emménager dans du neuf, ou qui souffrent de sensibilités comme des allergies ou de l’asthme. Pouvoir corréler ses symptômes avec la qualité de l’air affichée à l’écran est un atout majeur pour mieux vivre chez soi.

Verdict sur le Moniteur 9-en-1

C’est un excellent point d’entrée qui remplit parfaitement sa mission première : démystifier la pollution de l’air domestique. Il vous donne les clés pour reprendre le contrôle sur ce que vous respirez au quotidien.

Malgré ses petites faiblesses techniques, son rapport fonctionnalités/prix est franchement difficile à battre sur le marché actuel. Il fait le job essentiel : il vous alerte quand ça ne va pas et vous éduque sur les sources de pollution.

👉 Voir les avis du Moniteur 9-en-1

2. Temtop Moniteur P1000 Bluetooth : mon retour complet après test

Après avoir testé un modèle « généraliste » qui faisait un peu de tout, je voulais voir ce qu’une marque spécialisée comme Temtop pouvait proposer de plus sérieux. Le P1000 arrive avec une solide réputation de fiabilité, notamment sur la mesure critique des particules fines, et cela se sent dès l’ouverture de la boîte. L’emballage est nettement plus soigné, les finitions sont propres ; on sent immédiatement qu’on monte en gamme.

La prise en main est immédiate et rassurante, avec une interface moins chargée qui va droit à l’essentiel. Moins de chiffres qui clignotent dans tous les sens, mais on sent que l’accent est mis sur la précision des mesures clés : PM2.5, PM10 et CO2. La qualité de fabrication inspire confiance et l’appareil semble conçu pour durer.

Mais la vraie différence, celle qui justifie l’investissement, c’est la connexion Bluetooth qui change totalement l’expérience utilisateur. L’appairage avec le smartphone est simple et transforme ce boîtier en une véritable station de monitoring. D’un coup, l’appareil prend une autre dimension : on ne regarde plus juste un chiffre à un instant T, on commence à suivre des données sur le long terme.

Avantages & bénéfices observés

La précision du capteur laser pour les particules est tout simplement bluffante comparée aux modèles d’entrée de gamme. On voit des variations fines et subtiles qu’un modèle basique ne capte absolument pas, ce qui permet de détecter des sources de pollution insoupçonnées.

L’application mobile est pour moi le gros point fort de ce produit, car elle donne du sens aux chiffres bruts. Pouvoir exporter les données, voir les graphiques évoluer sur plusieurs jours ou semaines, c’est ce qui permet de passer de la simple réaction (ouvrir la fenêtre quand c’est rouge) à une véritable compréhension analytique de son environnement.

• Visualiser les pics de pollution et les lier à des activités précises (cuisine, ménage).
• Suivre l’efficacité de son purificateur d’air en temps réel.
• Exporter les données pour les analyser plus en détail si on est un ‘data-nerd’.

Le capteur CO2 NDIR (infrarouge non dispersif) est aussi un gage de fiabilité technique incontestable. C’est la technologie de référence pour cette mesure, bien plus stable que les capteurs électrochimiques bon marché, et ça se sent dans la cohérence des résultats jour après jour.

Limites / Inconvénients

Le focus technique sur certains polluants a un revers qu’il faut accepter : il ne mesure pas les COV ni le formaldéhyde. Si vous cherchez un appareil tout-en-un qui détecte tout, ce modèle vous laissera sur votre faim.

Si votre inquiétude principale vient des émanations de meubles neufs, des peintures fraîches ou des produits d’entretien agressifs, ce n’est pas le modèle le plus adapté à votre besoin. Il est vraiment axé sur la pollution par combustion (chauffage, cuisine, trafic routier extérieur) et l’efficacité de la ventilation via le taux de CO2.

Le prix est aussi logiquement plus élevé que la moyenne des produits génériques. On paie ici la marque, la qualité supérieure des capteurs embarqués et toute la partie logicielle qui accompagne le produit.

Pour qui ce produit ?

Ce modèle s’adresse à celui qui veut des données fiables et un suivi rigoureux sur la durée, sans se contenter d’approximations. C’est le choix du « geek » de la data, de l’asthmatique qui a besoin d’un outil précis pour gérer ses crises, ou du propriétaire d’un purificateur d’air qui veut vérifier son efficacité.

C’est aussi un excellent choix pour les bureaux ou les espaces de coworking, pour objectiver le besoin d’aération grâce au suivi du CO2. Il permet de prouver, chiffres à l’appui, que l’air est vicié et qu’il est temps de renouveler l’air pour maintenir la concentration de l’équipe.

Verdict sur le Temtop P1000

Il est certes moins polyvalent que d’autres, mais il est bien plus expert et crédible dans son domaine de prédilection. C’est un choix de raison pour qui cherche la précision avant la quantité de fonctionnalités.

L’investissement est largement justifié si votre priorité absolue est la fiabilité des mesures de particules fines et de CO2. L’application mobile est un vrai game-changer qui transforme la surveillance de l’air en une démarche proactive.

👉 Voir les avis du Temtop P1000

3. Détecteur de Qualité de l’Air WiFi : mon retour complet après test

Et si on pouvait vérifier l’air de la maison depuis son bureau, à des kilomètres de là ? C’est la promesse séduisante de ce modèle avec connectivité WiFi qui m’a tout de suite interpellé. Le design est radicalement différent, plus discret et épuré, presque comme un objet de décoration scandinave ; il est clairement pensé pour se fondre dans un intérieur moderne sans ressembler à un outil industriel.

La configuration passe entièrement par une application mobile, ce qui change des boutons physiques habituels. Il faut le connecter au réseau WiFi de la maison, une étape un peu plus technique au départ que pour les modèles autonomes, mais qui se fait assez bien si on suit les instructions. C’est le prix à payer pour la connectivité.

Une fois connecté, la magie opère : l’appareil envoie ses données (CO2, TVOC, HCHO, température, humidité) directement sur le cloud. On peut y accéder de n’importe où, que l’on soit au travail, en courses ou en vacances à l’autre bout du monde.

Avantages & bénéfices observés

La consultation à distance change tout à notre rapport à la maison. On peut vérifier si on a bien aéré avant de partir le matin, ou surveiller l’évolution de l’air chez soi pendant une absence prolongée pour s’assurer que tout est normal.

Le système d’alertes push sur le smartphone est un vrai plus pour la sécurité et le confort. Si le taux de CO2 dépasse un certain seuil critique dans la chambre pendant la nuit, on reçoit une notification immédiate, ce qui permet d’être proactif plutôt que de découvrir le problème le lendemain matin.

L’historique des données est stocké en ligne, ce qui permet de suivre les tendances sur le long terme sans saturer la mémoire de son téléphone, contrairement à certains modèles Bluetooth. On peut ainsi analyser les cycles de pollution sur des mois entiers.

Savoir que l’air de la chambre de mon enfant est sain même quand je suis en déplacement, ce n’est pas un gadget, c’est une vraie tranquillité d’esprit.

Limites / Inconvénients

La dépendance au WiFi est totale, ce qui est sa force mais aussi sa faiblesse. Pas d’internet, pas de données, et l’appareil perd une grande partie de son intérêt. L’écran sur l’appareil lui-même est souvent minimaliste, obligeant à sortir le téléphone pour avoir les détails.

Il ne mesure pas les particules fines (PM2.5/PM10), ce qui est pour moi un oubli majeur pour un appareil de surveillance complet. C’est l’un des polluants les plus préoccupants en milieu urbain, et son absence signifie qu’il se concentre uniquement sur les polluants gazeux et le confort thermique.

La fiabilité de l’application et la pérennité des serveurs du fabricant sont des questions légitimes à se poser. On est dépendant d’un service tiers pour accéder à ses propres données, ce qui peut gêner ceux qui préfèrent une solution locale.

Pour qui ce produit ?

Ce détecteur est taillé pour l’adepte de la maison connectée et de la domotique. C’est celui qui veut intégrer la surveillance de l’air dans ses routines automatisées (avec IFTTT par exemple) pour déclencher une ventilation ou une alerte.

C’est aussi parfait pour les propriétaires de résidences secondaires qui veulent surveiller leur bien à distance, ou les personnes qui veulent garder un œil bienveillant sur le logement de parents âgés, grâce à cet accès déporté très pratique.

Verdict sur le Détecteur WiFi

C’est un excellent outil de monitoring à distance qui brille par sa modernité, mais qui fait un compromis technique regrettable en ignorant les particules fines. Il est parfait pour la surveillance des gaz, moins pour la pollution urbaine.

Son point fort absolu reste la connectivité et la tranquillité d’esprit qu’elle procure. Si c’est votre critère numéro un, et que les COV/HCHO sont votre principale source d’inquiétude (peintures, meubles, produits ménagers), il est alors très pertinent.

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4. Moniteur de Qualité de l’Air portable rétroéclairé : mon retour complet après test

Parfois, on n’a pas besoin de graphiques complexes ou de connexion WiFi capricieuse. On veut juste savoir, ici et maintenant, si l’air est correct ou s’il faut agir. C’est exactement ce que propose ce moniteur portable : il est compact, léger, et son format donne immédiatement envie de l’emmener partout avec soi.

Zéro configuration, zéro prise de tête. On l’allume, on attend quelques secondes de calibration automatique, et c’est parti pour la mesure. L’approche est rafraîchissante de simplicité dans un monde où tout devient parfois trop connecté et compliqué.

Son immense écran rétroéclairé est son atout maître et sa meilleure fonctionnalité. Les chiffres sont gros, lisibles de loin même dans la pénombre, et un code couleur intuitif (vert, orange, rouge) donne un diagnostic instantané compréhensible par tous.

Avantages & bénéfices observés

Sa portabilité est un vrai avantage qui change l’usage qu’on en fait. Je l’ai emmené au bureau pour tester l’open-space, dans la voiture sur l’autoroute, et même dans une chambre d’hôtel un peu douteuse.

Cette mobilité permet de « chasser » les sources de pollution de manière active. On le déplace de pièce en pièce, on le pose près d’un meuble ou d’une bouche d’aération, et on identifie rapidement les zones à problème. C’est un excellent outil de diagnostic ponctuel et mobile.

• Pas de compte à créer, pas de mot de passe WiFi.
• Lecture immédiate des données sans passer par un smartphone.
• Idéal pour les personnes peu à l’aise avec la technologie.

L’indicateur de couleur est très efficace pour sensibiliser toute la famille, y compris les enfants qui ne savent pas lire les chiffres. « Ah, c’est orange, il faut ouvrir la fenêtre ! » devient un jeu éducatif qui ancre les bonnes habitudes.

Limites / Inconvénients

La simplicité a un coût évident : pas d’historique des données. Une fois éteint, tout est perdu, ce qui empêche toute analyse approfondie. Vous savez ce qui se passe maintenant, mais vous ne saurez pas ce qui s’est passé il y a une heure.

Impossible de suivre les tendances ou de comprendre les cycles de pollution sur 24h, comme l’accumulation de CO2 la nuit. C’est un appareil pour des mesures instantanées, pas pour une analyse de fond. Il ne mesure pas non plus les particules fines, se limitant aux gaz.

Comme le premier modèle testé, la précision des capteurs COV/HCHO est celle d’un appareil grand public d’entrée de gamme. Il faut le prendre comme un indicateur relatif (« il y a plus de pollution ici que là ») plutôt que comme une mesure absolue de laboratoire.

Pour qui ce produit est fait ?

Il est fait pour la personne qui veut une réponse simple à une question simple : « Est-ce que je dois aérer maintenant ? ». Pas de fioritures, juste l’information utile au moment où on en a besoin.

Il est parfait pour les personnes âgées, les technophobes, ou comme premier appareil pédagogique pour se familiariser avec les notions de qualité de l’air intérieur sans se sentir submergé par des données techniques.

Verdict sur le Moniteur portable

C’est l’antithèse du gadget compliqué qui finit dans un tiroir. Il va droit au but, et il le fait bien, avec une efficacité redoutable pour le quotidien.

Son manque de fonctionnalités avancées est en fait sa plus grande force pour un certain public. C’est un outil simple, lisible et efficace pour une action immédiate, et c’est parfois tout ce qu’on demande.

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🧭 Quel est le meilleur analyseur d’air multiparamètres ?

Choisir le bon appareil peut sembler complexe face à toutes ces options, mais en réalité, tout dépend de ce que vous cherchez à traquer. Si votre objectif est d’avoir une vision globale et de détecter un maximum de polluants (du CO2 aux particules fines en passant par les COV), le Moniteur 9-en-1 est le choix le plus rationnel pour une maison familiale. C’est le plus polyvalent.

En revanche, si vous êtes asthmatique, allergique, ou que vous vivez dans une zone urbaine très polluée, la précision des particules fines est votre priorité absolue. Dans ce cas, le Temtop P1000 est incontestablement supérieur grâce à son capteur laser et son application de suivi. Pour les amateurs de domotique qui veulent surveiller leur logement à distance, le modèle WiFi s’impose, tandis que le modèle portable restera le favori de ceux qui veulent juste un outil simple et efficace sans technologie superflue.

🧨 Verdict final

Après avoir passé du temps avec ces quatre appareils, une chose est sûre : ne pas surveiller son air intérieur, c’est accepter de respirer à l’aveugle. Chacun de ces moniteurs a ses forces, mais ils partagent tous le même but : rendre visible l’invisible pour protéger votre santé.

Si je devais n’en garder qu’un pour un usage quotidien standard, je reviendrais vers le Moniteur 9-en-1. Pourquoi ? Parce que c’est celui qui offre le meilleur compromis entre la quantité d’informations fournies et la facilité d’lecture, le tout pour un tarif accessible. Il ne demande pas d’être un expert pour être utile immédiatement.

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🧭 Quel est le meilleur analyseur d’air multiparamètres ?

Maintenant qu’on a vu en détail ces quatre concurrents, la question reste entière : lequel choisir pour VOUS ? Le « meilleur » n’existe pas dans l’absolu, il dépend de vos priorités.

Comparaison synthétique : ce qu’il faut vraiment regarder

Ne vous laissez pas aveugler par la quantité de données affichées. Un boîtier qui prétend mesurer neuf polluants avec des capteurs bas de gamme vaut moins qu’un appareil ciblant trois métriques avec une précision chirurgicale.

Oubliez les fiches techniques à rallonge, voici les seuls critères qui feront la différence dans votre usage quotidien :

• Les polluants cibles : êtes-vous inquiet des particules (PM2.5) ou des gaz (COV, CO2) ?
• Le besoin de suivi : une mesure instantanée vous suffit-elle ou voulez-vous un historique ?
• La connectivité : avez-vous besoin d’un accès à distance ?

Au fond, le choix se résume à un arbitrage entre la polyvalence (Moniteur 9-en-1), la précision brute (Temtop), la connectivité domotique (Détecteur WiFi) et la simplicité immédiate (Moniteur portable).

Recommandations selon votre profil

Pour le parent inquiet qui veut une vision globale après des travaux : le Moniteur 9-en-1 est un excellent point de départ pour couvrir toutes les bases, surveillant notamment ce traître de formaldéhyde.

Pour le télétravailleur soucieux de sa concentration et de sa santé, enfermé 8h dans son bureau : le Temtop P1000 est l’outil idéal. Il surveille le CO2 avec rigueur pour vous assurer une ventilation optimale.

Pour l’amateur de domotique qui veut tout piloter depuis son smartphone : le Détecteur WiFi s’intégrera sans friction dans son écosystème. C’est le choix logique pour automatiser la purification et garder un œil à distance.

Pour la personne qui veut juste un outil simple et efficace sans se prendre la tête : le Moniteur portable est imbattable pour sa lisibilité immédiate et sa facilité d’usage.

🧨 Verdict final

Alors, au bout du compte, quel est mon choix personnel après avoir passé des semaines avec ces appareils ?

Un choix sincère et personnel

Si je ne devais en garder qu’un, mon choix se porterait sur le Temtop P1000. Pourquoi ? Parce qu’il privilégie la précision sur la quantité. C’est un appareil robuste qui ne cherche pas à tout faire, mais qui fait l’essentiel parfaitement.

Savoir avec fiabilité le niveau de PM2.5 et de CO2 me semble plus utile que d’avoir une estimation vague de 9 polluants. Son usage au quotidien est aussi un vrai outil de compréhension. C’est rassurant d’avoir des données claires.

Un analyseur d’air multiparamètres n’est pas là pour vous angoisser avec des chiffres, mais pour vous donner le pouvoir d’agir sur ce que vous respirez. Choisissez celui qui vous parle le plus.

C’est exactement ma philosophie pour une maison saine.

Mais si votre budget est plus serré, le Moniteur 9-en-1 reste une alternative plus que respectable pour une première approche. Il a le mérite d’être exhaustif. C’est un bon point de départ.

👉 Revoir les avis du Moniteur 9-en-1

Après avoir vécu avec ces appareils, ma préférence va au Temtop P1000 pour sa précision rassurante au quotidien. Toutefois, si votre budget est limité, le Moniteur 9-en-1 constitue une excellente porte d’entrée. Au final, peu importe l’outil : l’important est de reprendre le contrôle sur l’air que vous respirez.

FAQ

Quel est, selon moi, le meilleur analyseur d’air global ?

Si je devais n’en choisir qu’un seul après mes tests, mon cœur balance, mais la raison l’emporte vers le Temtop P1000. Pourquoi ? Parce que dans ce domaine, la précision prime sur la quantité de gadgets. J’ai constaté que ses capteurs laser pour les particules fines (PM2.5) offrent une fiabilité que les modèles « tout-en-un » peinent parfois à égaler. C’est l’outil que je garderais sur mon bureau pour avoir l’heure juste.

Cependant, si votre budget est plus serré et que vous cherchez surtout à avoir une vue d’ensemble pour « dégrossir » le problème (notamment pour le formaldéhyde après des travaux), le Moniteur 9-en-1 reste une alternative très pertinente. Il est moins « chirurgical » que le Temtop, mais il m’a permis de repérer des sources de pollution que je ne soupçonnais pas.

Comment savoir concrètement si l’air de ma pièce est sain ?

Le plus simple est de se fier aux codes couleurs présents sur la majorité de ces appareils, comme le Moniteur portable rétroéclairé. Au quotidien, je ne regarde même plus les chiffres exacts : si l’écran est vert, je suis tranquille. Dès que ça vire à l’orange ou au rouge, je sais qu’il y a un souci, souvent lié à un manque d’aération (CO2) ou à la cuisine (particules fines).

Pour aller plus loin, je surveille deux indicateurs clés : le CO2 et les PM2.5. Si le CO2 dépasse 1000 ppm, l’air est « confiné », il faut ouvrir la fenêtre. Si les PM2.5 grimpent, c’est que l’air est « pollué » (poussière, fumée, cuisson). C’est cette double lecture qui me permet de dire si l’environnement est vraiment sain.

Quel est le paramètre le plus important à surveiller ?

Cela dépend vraiment de votre inquiétude principale. D’après mon expérience, si vous vous sentez souvent fatigué ou que vous avez des maux de tête en fin de journée, c’est le CO2 qu’il faut traquer. C’est l’indicateur roi du confinement. Le Détecteur WiFi est d’ailleurs excellent pour ça, car il vous alerte sur votre smartphone si la chambre n’est pas assez ventilée la nuit.

En revanche, si vous êtes asthmatique, allergique ou vivez en ville, ce sont les particules fines (PM2.5) qui doivent capter votre attention. Ce sont les polluants les plus insidieux pour la santé respiratoire. Dans ce cas précis, ne faites pas l’impasse sur un appareil doté d’un bon capteur laser, comme le Temtop, car c’est là que se joue la vraie prévention santé.

Comment m’y prendre pour bien mesurer la qualité de l’air chez moi ?

Mon conseil d’ami : ne laissez pas l’appareil statique dans un coin poussiéreux ou juste à côté d’une fenêtre ouverte, cela fausserait tout. Pour obtenir une mesure représentative, je place le moniteur à hauteur de respiration (sur une table basse ou un bureau), loin des courants d’air directs et des sources de chaleur.

J’aime aussi utiliser le Moniteur portable pour faire des « rondes ». Je le laisse 10 minutes dans la chambre, puis 10 minutes dans le salon, et enfin dans la cuisine. C’est fascinant de voir comment la qualité de l’air varie d’une pièce à l’autre. C’est souvent comme ça que l’on découvre que la chambre du petit dernier est bien moins ventilée qu’on ne le pensait !