Pour aller à l’essentiel : l’ELEGOO Saturn 4 allie une qualité d’impression 12K exceptionnelle (11520×5120 pixels) à des fonctionnalités intelligentes comme le nivellement automatique et son bac à résine innovant avec becs verseurs. Proposée à environ 300€, elle séduit par son excellent rapport qualité-prix. Idéale pour débutants exigeants comme pour amateurs éclairés, elle simplifie l’impression résine sans sacrifier la précision technique. Avec sa résolution XY de 19×24 µm et son volume d’impression généreux (218,88 x 122,88 x 220 mm), c’est un compromis rare sur ce segment.
Vous en avez assez de calibrer manuellement votre plateau ou de vous battre contre la résine qui sèche partout ?
Après avoir passé des heures à débattre avec mes anciennes imprimantes résine, j’ai testé l’ELEGOO Saturn 4 pendant plusieurs semaines, lui confiant l’impression de figurines ultra-détaillées comme de pièces fonctionnelles. Grâce à sa nivellation automatique et à sa résolution 12K, cette machine promet de révolutionner l’expérience, mais pas sans quelques défauts.
Dans cet avis ELEGOO Saturn 4, découvrez mon retour sincère : comment elle simplifie le processus, ses atouts techniques bluffants, et les petits défauts qui pourraient agacer, pour un modèle qui séduit aussi bien les novices que les passionnés exigeants.
- Mon expérience avec l’ELEGOO Saturn 4 : du déballage à la première impression 12K
- Les fonctionnalités clés de la Saturn 4 passées au crible
- Les limites et points de vigilance de l’ELEGOO Saturn 4
- L’ELEGOO Saturn 4 : pour qui est-elle vraiment faite ?
- Prix et positionnement de l’ELEGOO Saturn 4
- Que disent les autres utilisateurs ? Analyse des avis clients sur l’ELEGOO Saturn 4
- Verdict final : mon avis sur l’ELEGOO Saturn 4, l’achat est-il justifié ?
Je ne compte plus les heures passées à calibrer un plateau d’impression ou à nettoyer de la résine renversée. C’est un peu le baptême du feu de tout amateur d’impression 3D. Alors, quand ELEGOO a annoncé sa nouvelle Saturn 4, j’ai été intrigué. J’ai eu le modèle Ultra entre les mains, avec sa structure métallique et son écran tactile de 4 pouces, et j’étais impatient de vérifier si le nivellement automatique et le capteur intelligent tiendraient leurs promesses.
J’ai donc décidé de la mettre à l’épreuve pendant plusieurs semaines, en lui confiant des modèles simples et complexes. Ce que vous allez lire, c’est mon avis sur l’ELEGOO Saturn 4 : ses points forts, comme sa vitesse d’impression atteignant 150 mm/h, ses limites, comme la difficulté à nettoyer certains recoins du bac à résine, et pour qui elle est faite. J’ai testé ses fonctionnalités, dont la détection d’erreurs en temps réel via sa caméra IA, et je partage ici mon retour, après plus de 50 heures d’utilisation intensive.
Résumé de notre avis sur l’ELEGOO Saturn 4
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| ✅ Qualité d’impression 12K époustouflante | ❌ Capteur intelligent parfois capricieux |
| ✅ Nivellement automatique vraiment « plug-and-play » | ❌ Nettoyage du plateau d’impression perfectible |
| ✅ Bac à résine avec becs verseurs ultra-pratiques | |
| ✅ Capot rabattable qui facilite l’accès | |
| ✅ Excellent rapport qualité-prix |
L’ELEGOO Saturn 4 offre une précision exceptionnelle avec son écran LCD 12K (0,02 mm sur l’axe Z). Le nivellement automatique et la calibration rapide assurent une installation sans prise de tête. Le bac à résine avec becs verseurs simplifie l’utilisation quotidienne.
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L’imprimante intègre un capteur mécanique alertant en cas de manque de résine ou de nivellement incorrect. Idéale pour passionnés de modélisme, créateurs de bijoux ou prototypistes, cette machine allie puissance et prix attractif. Accessible aux novices via son interface en français, elle séduit les professionnels par sa précision.
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Mon expérience avec l’ELEGOO Saturn 4 : du déballage à la première impression 12K
Lorsque j’ai déballé l’ELEGOO Saturn 4, j’ai été immédiatement rassuré par la solidité de l’emballage. Tout était parfaitement calé dans du mousse épaisse, sans risque de chocs pendant le transport. L’imprimante, au design sobre et fonctionnel, affiche un boîtier en plastique renforcé d’une base métallique robuste. Son capot up-and-over, qui s’ouvre vers le haut, est un détail pratique pour manipuler le bac à résine sans salir les bords, surtout avec des gants collants. En 14,5 kg, elle est suffisamment lourde pour rester stable, mais compacte (327 x 329 x 548 mm) pour s’intégrer sur un bureau d’appartement.
Voici ce que contient la boîte :
- L’imprimante Saturn 4 et son capot de protection ;
- Le plateau d’impression et le bac à résine, avec un design de cuve basculante pour réduire les tensions entre couches ;
- Des outils de qualité : spatules en métal et plastique (idéales pour les supports délicats), clés Allen, vis de rechange ;
- Des consommables utiles : masques, gants, entonnoirs pour filtrer la résine sans en perdre une goutte ;
- Une clé USB avec le logiciel CHITUBOX (Basic/Pro), des manuels en plusieurs langues, et un fichier de test pour démarrer en 10 minutes.
La mise en route a été d’une simplicité déconcertante. Le nivellement automatique, souvent source d’anxiété pour les novices, s’est effectué en un clic. L’écran tactile de 4 pouces, bien que l’affichage soit un peu petit en raison de son orientation portrait, m’a guidé pas à pas grâce à un menu intuitif. L’option d’ajustement du temps d’exposition en temps réel a été un vrai plus : j’ai modifié les paramètres directement pendant l’impression, sans redémarrer. Pour un premier essai, j’ai utilisé une résine classique, sans contrainte de marque, confirmant la compatibilité avec les résines non propriétaires.
Pour la première impression, j’ai choisi le fichier test fourni sur la clé USB. Le démarrage s’est fait en 5 minutes chrono, grâce à la calibration instantanée. Résultat bluffant : la résolution 12K (11 520 x 5 120 pixels) a capturé des détails infimes, comme les motifs gravés sur une bague 3D ou les plis d’une cape de figurine. La cuve basculante, bien que discrète, a probablement réduit les défauts d’adhérence, garantissant une qualité constante. J’ai même testé un modèle en surplomb : les détails en hauteur (220 mm max) sont restés nets, sans déformation, grâce à la précision Z de 0,02 mm.
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Les fonctionnalités clés de la Saturn 4 passées au crible
Une qualité d’impression 12K qui fait la différence
J’ai été immédiatement impressionné par la résolution de 11520 x 5120 pixels de l’écran 12K, soit une précision XY de 19×24 µm. Cela veut dire que chaque détail est rendu avec une netteté incroyable. Lors de mes tests, j’ai imprimé un modèle de dentelle miniature. À la loupe, chaque filigrane était parfaitement reproduit, sans bavure, comme si j’observais un bijou véritablement sculpté à la main.
Imaginez regarder un paysage en haute définition : vous découvrez des détails cachés au premier abord. C’est exactement ce que permet cette résolution. Même après plusieurs impressions, les surfaces restent d’une lissité remarquable, les habituelles lignes de couches presque invisibles à l’œil nu.
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L’ergonomie repensée : le duo gagnant du capot et du bac à résine
Le capot rabattable m’a conquis dès les premières utilisations. Impossible de le poser à côté sans risquer l’accident avec sa surface chargée d’électricité statique. D’un simple geste de la main, je l’ouvre alors que mes gants sont encore imprégnés de résine. C’est un soulagement quand on jongle entre gants, pipettes et plateaux.
Le bac à résine, avec ses deux becs verseurs, m’a épaté. Enfin un design qui permet de transvaser la résine restante sans en répandre une goutte.
« C’est sans doute le bac à résine le plus pratique que j’ai pu tester sur une machine de cette taille, les becs verseurs permettent enfin de vider la résine sans en mettre partout. »
L’ancien système de vis pour fixer le plateau a disparu, remplacé par un bouton poussoir. Un détail qui gagne du temps : 3 secondes pour changer de plateau contre presque 1 minute avant. Un gain précieux quand on enchaîne les impressions.
Les « fonctions intelligentes » : promesse tenue ?
Le nivellement automatique m’a évité des heures d’ajustements fastidieux. Dès le démarrage, le système s’est calibré seul. Aucun besoin de coincer une feuille de papier entre le plateau et l’écran, une révolution pour les utilisateurs comme moi qui redoutaient ce moment.
Le capteur mécanique intelligent m’a surpris par sa réactivité. Lors d’une tentative d’impression sans résine suffisante, l’alerte a retenti avant même que je ne m’en rende compte. J’ai aussi testé volontairement un plateau mal calé : l’imprimante a détecté l’irrégularité avant de commencer, évitant un échec coûteux. Ces fonctionnalités promettent, mais je vais vérifier leur fiabilité sur le long terme.
Les limites et points de vigilance de l’ELEGOO Saturn 4
La fiabilité capricieuse du capteur intelligent
Lors de mes tests, j’étais très enthousiaste à l’idée de ce capteur mécanique intelligent. Malheureusement, je dois avouer que mon expérience a été mitigée. La détection du niveau de résine est parfois trop capricieuse, se déclenchant sans raison apparente.
Le capteur mécanique est une idée brillante sur le papier, mais dans la pratique, sa fiabilité variable peut parfois causer plus de frustration que d’aide.
Ce système, censé détecter les manques de résine ou les problèmes d’alignement, m’a parfois conduit à interrompre des impressions pour des alertes infondées. Dans d’autres cas, il a laissé passer des défauts évidents. Ce manque de constance est d’autant plus surprenant qu’ELEGOO met en avant cette fonctionnalité comme un atout majeur.
Le compromis du capot : praticité contre protection UV
J’apprécie le design rabattable du capot qui facilite l’accès à l’espace d’impression, surtout avec des gants imprégnés de résine. Cependant, en examinant les retours des utilisateurs du modèle Ultra (très similaire), je me suis rendu compte que la filtration UV semblait moins efficace que sur les anciens modèles.
Ce compromis se comprend : on gagne en praticité, mais il faut peut-être être plus vigilant sur l’exposition de la machine à la lumière ambiante. Pour les impressions longues ou dans des environnements très lumineux, mieux vaut envisager une pièce tamisée ou un surcroît de protection.
Quelques difficultés au nettoyage
Le nettoyage s’est révélé plus délicat. Les barres de fixation du plateau rendent l’accès difficile pour nettoyer les résidus sous la plaque d’impression. Lors du retrait du plateau, j’ai plusieurs fois fait couler de la résine sur le châssis, malgré mes précautions.
J’ai dû développer des gestes précis pour éviter ces dégâts collatéraux. C’est un point à prendre en compte pour les utilisateurs peu habitués à manipuler la résine. La conception semble privilégier la stabilité de l’impression au détriment de la facilité d’entretien.
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L’ELEGOO Saturn 4 : pour qui est-elle vraiment faite ?
Lorsque j’ai déballé l’ELEGOO Saturn 4, les débutants m’ont semblé être la cible. Le nivellement automatique élimine les ajustements manuels frustrants, un clic suffit pour calibrer le plateau. Cela laisse place à la créativité, idéal pour les novices en impression résine.
L’érgonomie réduit les risques de dégâts. Le capot rabattable facilite l’accès au bac à résine, même en gants. La qualité d’impression est nette dès le premier test : détails nets, surfaces lisses, sans l’effet « en escalier ». J’ai testé des pièces simples : les arêtes étaient tranchantes, les trous ronds, une base solide pour progresser.
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Pour les passionnés expérimentés, la Saturn 4 Ultra (modèle associé) brille par son écran 12K (19×24 µm) capturant des détails microscopiques. J’ai testé des figurines : motifs, plumes, inscriptions étaient reproduits. La vitesse atteint 150 mm/h grâce à la technologie d’inclinaison, un gain de temps précieux pour les projets.
Les capteurs intelligents évitent le gaspillage en détectant les déformations et en arrêtant l’impression. Le système de vidange simplifié avec becs verseurs intégrés est un progrès clé : pas d’éclaboussures, un simple appui suffit pour récupérer la résine.
- Les créateurs de figurines pour des détails exceptionnels
- Les amateurs éclairés souhaitant monter en gamme sans se ruiner grâce à la précision 12K
- Les débutants exigeants avec une prise en main immédiate, sans sacrifier la qualité
- Les petits ateliers pour un prototypage précis et répétitif
La Saturn 4 allie performance et simplicité. Les débutants apprécieront l’ergonomie et la qualité constante. Les autres sauteront sur la résolution 12K pour des pièces détaillées. Un investissement justifié pour des résultats professionnels, malgré un prix supérieur aux entrées de gamme.
Prix et positionnement de l’ELEGOO Saturn 4
J’ai eu l’opportunité de tester l’ELEGOO Saturn 4 dans mon atelier, et je dois avouer que son prix autour de 300€ m’a immédiatement intrigué. Est-ce que cette imprimante 3D résine réussit à allier performance et abordabilité ? Voici mon analyse après plusieurs semaines d’utilisation.
Avant d’entrer dans les détails, précisons qu’ELEGOO propose également une version Ultra de ce modèle. Pour bien comprendre les différences, voici un comparatif clair des deux options :
| Caractéristique | ELEGOO Saturn 4 | ELEGOO Saturn 4 Ultra |
|---|---|---|
| Volume de construction | 218.88 x 122.88 x 220 mm | 218.88 x 122.88 x 220 mm |
| Résolution écran | 12K (11520×5120 px) | 12K (11520×5120 px) |
| Vitesse d’impression max | ~70 mm/h | Jusqu’à 150 mm/h |
| Connectivité | USB | USB + WiFi |
| Fonctions IA (détection) | Non | Oui (Caméra IA) |
| Prix indicatif | Environ 300€ | Supérieur (non communiqué) |
Après avoir utilisé la Saturn 4 standard, je suis convaincu que son tarif représente un excellent rapport qualité-prix. Pour ce prix, on obtient une imprimante 3D équipée de technologies autrefois réservées aux modèles haut de gamme, comme l’écran 12K et le nivellement automatique. La version Ultra justifie son surcoût par sa vitesse doublée et ses fonctionnalités de surveillance avancées, mais la majorité des utilisateurs trouveront leur compte dans la version standard.
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Que disent les autres utilisateurs ? Analyse des avis clients sur l’ELEGOO Saturn 4
Lors de mes recherches, j’ai constaté que l’ELEGOO Saturn 4 suscite un vif intérêt chez les passionnés d’impression 3D résine. En explorant les forums spécialisés, une tendance claire se dégage : cette imprimante s’impose comme une référence pour sa combinaison de performance et d’accessibilité, confirmant les observations de mon propre test.
Les aspects plébiscités sont sans ambiguïté. La qualité d’impression 12K est souvent décrite comme « révolutionnaire pour les détails fins », notamment pour les figurines de jeux de rôle. L’ergonomie simplifiée séduit les débutants grâce à un montage facile et une calibration automatique. Le bac à résine avec becs verseurs est un autre point salué, réduisant dégâts et nettoyages fastidieux.
Pourtant, quelques critiques méritent d’être notées. Plusieurs utilisateurs rapportent des doutes sur la fiabilité du capteur intelligent, ce qui rejoint mes propres constats. Certains évoquent aussi des difficultés d’accès pour le nettoyage des zones étroites, ou un léger grincement pendant le tilt, souvent pointés par des makers exigeants.
Des extraits d’avis résonnent avec mon expérience : « Passé d’une Saturn 3 à celle-ci, les détails en 12K m’ont bluffé », confesse un utilisateur. Un autre, plus critique, ajoute : « La qualité est là, mais j’ai désactivé le capteur de résine : trop de fausses alertes. » Ce mélange d’enthousiasme et de recul nuancé reflète bien l’adoption globale.
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Verdict final : mon avis sur l’ELEGOO Saturn 4, l’achat est-il justifié ?
Après ces semaines passées en compagnie de la Saturn 4, le moment est venu de rendre mon verdict. Et je dois dire que je suis globalement très impressionné. L’évolution des fonctionnalités par rapport aux modèles précédents se ressent vraiment dans l’expérience quotidienne d’utilisation.
Ce sont d’abord les améliorations ergonomiques qui m’ont séduit : le capot rabattable qui simplifie l’accès au plateau, le bac à résine avec becs verseurs qui facilite le remplissage, et surtout ce mécanisme d’inclinaison qui accélère considérablement les impressions tout en améliorant la qualité des détails. La calibration automatique du plateau est également un vrai confort, surtout pour les débutants.
Pour ce qui est de la qualité d’impression, l’écran 12K délivre des détails extrêmement fins, parfaitement adaptés aux miniatures de jeux de rôle ou de wargames. Même avec des résines basiques, les résultats sont bluffants de précision. Et ce sans devoir se ruiner en résines spécifiques, ce qui est un vrai avantage économique.
Bien sûr, elle n’est pas parfaite. Le capteur intelligent, censé détecter les problèmes, m’a causé quelques frustrations avec ses alertes intempestives de « matière étrangère détectée ». Et l’absence de chauffage intégré, surprenante sur ce modèle haut de gamme, explique certains échecs d’impression en environnement frais.
Je vous recommande néanmoins chaudement cette imprimante. Pour un débutant, c’est une entrée idéale dans l’impression 3D résine, avec suffisamment de confort pour limiter les frustrations. Pour un utilisateur expérimenté, c’est une évolution logique qui améliore concrètement le workflow. ELEGOO a réussi à équilibrer performance, praticité et prix dans un format qui tient ses promesses.
Après plusieurs semaines d’utilisation, l’ELEGOO Saturn 4 s’impose comme une référence. Qualité 12K, nivellement automatique et bac à résine convainquent débutants et utilisateurs avancés. Malgré les caprices du capteur, son rapport qualité-prix exceptionnel en fait un achat judicieux pour performance et simplicité.
FAQ
L’ELEGOO Saturn 4 vaut-elle vraiment le détour ?
Quand j’ai déballé la Saturn 4, j’étais curieux de voir si elle tiendrait ses promesses. Après plusieurs semaines d’usage intensif, je dois dire qu’elle m’a convaincu. La résolution 12K est bluffante pour ce prix, et le nivellement automatique m’a évité des heures de réglages fastidieux. Ce qui m’a le plus marqué, c’est la praticité du bac à résine avec ses becs verseurs – fini les dégâts lors de la vidange ! Bien sûr, le capteur intelligent reste parfois capricieux, mais pour un débutant ou un passionné soucieux de simplicité, ce modèle reste un excellent choix.
Quel modèle ELEGOO est le plus recommandé actuellement ?
Si vous cherchez la crème de la crème, l’ELEGOO Saturn 4 Ultra impressionne par sa vitesse d’impression (jusqu’à 150 mm/h) et sa connectivité Wi-Fi. J’ai été épaté par la caméra IA qui détecte les erreurs en temps réel – un vrai plus pour éviter les ratés. Pour un usage plus classique, la Saturn 4 standard reste imbattable sur le rapport qualité-prix. Les amateurs de FDM préféreront peut-être la Neptune 4, mais pour la résine, le duo Saturn 4/4 Ultra domine clairement la gamme.
Quel est le retour d’expérience sur le modèle Ultra ?
J’ai eu l’occasion de tester la Saturn 4 Ultra en parallèle de la version standard. Son principal avantage ? La vitesse : j’ai vu des impressions de 67 mm se faire en 3,5 heures, c’est bluffant. L’écran tactile de 4 pouces est réactif, et la calibration s’effectue en un clic. En revanche, le nettoyage reste un casse-tête : les barres de fixation du plateau rendent l’accès délicat, et j’ai renversé de la résine en retirant le bac. Pour un usage intensif, l’Ultra vaut son prix, mais les débutants pourraient se contenter de la version standard.
Quelles précautions prendre avec la Saturn 4 ?
J’ai vite appris à respecter quelques règles d’or avec cette imprimante. D’abord, porter gants et masque est indispensable pour manipuler la résine. J’ai failli oublier de verrouiller le bac lors d’un changement, ce qui aurait pu endommager l’écran LCD. Autre astuce : nettoyer immédiatement les éclaboussures, car la résine sèche très vite. Enfin, si le capteur intelligent se déclenche trop souvent, je désactive volontairement sa détection de résidus. Et pour éviter les dégradations UV, j’ai placé l’appareil loin des fenêtres.
Quelle imprimante 3D est la plus fiable à long terme ?
La Saturn 4 se montre solide en usage quotidien, mais avec des nuances. La structure métallique inspire confiance, et le niveau de précision (19×24 µm) est maintenu sur la durée. En revanche, j’ai constaté que le capteur mécanique, bien que malin, peut se tromper sur le niveau de résine, ce qui m’a interrompu en pleine impression. Pour un usage professionnel, je conseillerais plutôt la version Ultra avec sa garantie renforcée, mais pour un particulier, la Saturn 4 standard offre un bon équilibre entre fiabilité et accessibilité.
Combien de temps une imprimante 3D peut-elle durer ?
Mon expérience avec la Saturn 4 montre qu’on peut espérer 2 à 3 ans d’utilisation régulière. La garantie ELEGOO est claire : l’écran LCD est couvert 3 mois, les autres pièces jusqu’à 12 mois. J’ai vu des utilisateurs sur Reddit tenir 5 ans avec des modèles antérieurs, mais tout dépend de l’entretien. Avec la Saturn 4, je prends soin de ne pas la placer près des sources de chaleur et de changer le bac à résine tous les 200 heures d’impression – une habitude qui prolonge sa durée de vie.
Quelle imprimante 3D acheter sous 1000 euros ?
Pour ce budget, la Saturn 4 est ma recommandation phare. À 300€, elle offre une qualité 12K inégalée dans cette tranche de prix. J’ai testé la Mars 4 Ultra (450€) pour sa vitesse, mais elle reste moins polyvalente. En FDM, la Neptune 4 Pro (250€) est redoutable, mais la précision résine reste inégalée. Si vous voulez un modèle « tout faire », la Saturn 4 est le meilleur compromis, surtout si vous profitez d’une promotion Amazon.
À quel prix faut-il compter pour une machine de qualité ?
Les prix varient beaucoup selon la technologie. Pour les résines, comptez 300€ pour la Saturn 4, 450€ pour l’Ultra, et jusqu’à 800€ pour des modèles pro comme l’Orion. En FDM, on trouve du solide à 200€, mais la précision reste moindre. J’ai investi dans la Saturn 4 avec ses accessoires (résines, isopropyl) pour environ 400€ au total – un budget raisonnable quand on voit le niveau de détail des impressions. Pour un usage occasionnel, inutile de dépasser 500€.
Quels sont les inconvénients à anticiper ?
J’ai vite déchanté sur certains aspects. La résine reste un matériau délicat : j’ai abîmé un masque en le réutilisant trop longtemps, et mes premières impressions collaient mal au plateau malgré les gravures laser. Le capteur intelligent est utile pour éviter les pannes sèches, mais ses fausses alertes m’ont agacé. Enfin, le nettoyage reste un calvaire – un plateau mal retiré a failli tacher ma table de travail. Heureusement, les becs verseurs du bac limitent les dégâts comparé aux anciens modèles.
