Pour aller à l’essentiel : la Creality K1 Speedy révolutionne l’impression 3D grand public avec une vitesse fulgurante (jusqu’à 25 mm/s), permettant d’imprimer un Benchy en seulement 16 minutes. Son design entièrement assemblé, son auto-nivellement et sa compatibilité avec des filaments exigeants (ABS, ASA, PLA-CF) en font un allié polyvalent. Malgré un bruit moteur à haute vitesse, elle allie performance professionnelle et prix accessible. Parfaite pour les makers pressés ou les prototypistes souhaitant multiplier les itérations sans compromis sur la qualité.
Vous en avez marre d’attendre des heures pour une impression 3D qui finit par rater ? La Creality K1 Speedy pourrait bien être la révolution silencieuse que vous attendiez. Après avoir testé cette imprimante qui allie vitesse folle (jusqu’à 600 mm/s) et simplicité d’usage, je vous dévoile si elle tient ses promesses. Entre une calibration automatique qui change tout et un bruit proche de l’aspirateur, préparez-vous à redéfinir votre rapport à l’impression 3D. Entièrement assemblée et prête en 2 minutes, elle gère même les filaments techniques comme l’ABS ou le PC… mais au bruit peu discret.
- Mon expérience avec Creality K1 Speedy
- Les avantages et bénéfices
- Les limites ou inconvénients possibles
- Pour qui ce produit est fait ?
- Verdict final sur Creality K1 Speedy
- Mon expérience avec la Creality K1 Speedy : du déballage au premier « Benchy »
- Résumé de notre avis sur la Creality K1 Speedy
- Les avantages et bénéfices en détail
- Les limites et points de vigilance à connaître
- Tarifs et modèles : K1 vs K1C, que choisir ?
- Creality K1 Speedy : pour qui est-elle faite ?
- Que pensent les autres utilisateurs de la K1 Speedy ?
- Verdict final : mon avis sur la Creality K1 Speedy
Je me souviens encore de ces impressions de 12 heures qui échouaient à la onzième… J’ai longtemps rêvé d’une machine qui pourrait allier vitesse et fiabilité sans devoir vendre un rein. Quand j’ai entendu parler de la Creality K1 Speedy, promise à pulvériser les records de rapidité, j’ai sauté sur l’occasion pour la tester. Cette imprimante 3D, positionnée comme une concurrente sérieuse aux modèles bien plus chers, m’a réservé des surprises. Dans cet article, je vous partage mon retour complet : du déballage aux tests poussés, en passant par ses forces, ses faiblesses et un verdict honnête pour vous aider à décider si elle est faite pour vous.
Mon expérience avec Creality K1 Speedy
À peine déballée, la Creality K1 Speedy m’a impressionné par son design compact et robuste. Contrairement aux modèles à cadre ouvert, sa structure entièrement fermée m’a immédiatement rassuré sur sa stabilité. L’assemblage était un jeu d’enfant : deux minutes chrono après avoir retiré les protections, elle était prête à fonctionner. Pas de réglage fastidieux, pas de surprises désagréables.
La première impression a été décisive. Alors que mes anciennes imprimantes mettaient souvent plus de 30 minutes pour un Benchy standard, la K1 Speedy l’a réalisé en 16 minutes chrono ! Cette accélération de 20000 mm/s² est vertigineuse. J’ai testé différents matériaux : PLA, PETG, et même du PC chargé en fibre de carbone. À chaque fois, la précision était au rendez-vous, avec des détails impeccables et des mesures extrêmement proches des spécifications (ex: 22,89 mm sur un Benchy censé mesurer 23 mm).
L’auto-nivellement m’a épargné des heures de galère. Plus de papier calque, plus de curseurs à ajuster : un simple clic suffit. La plaque en acier flexible recouverte de thermoplastique permet un retrait des pièces sans effort. Même les impressions complexes comme le test Kickstarter-Autodesk ont été réussies avec un score de 25/30, seul le stringing entre les pics venant entacher la perfection.
Les avantages et bénéfices
- Vitesse fulgurante : 600 mm/s en vitesse d’impression, soit 12 fois plus rapide que les modèles FDM classiques. Un Benchy standard s’imprime en 16 minutes chrono.
- Auto-nivellement intelligent : le système de jauge de contrainte élimine toute intervention manuelle. Un must pour les débutants.
- Compatibilité polyvalente : supporte PLA, ABS, PETG, TPU, PA, ASA, PC, et leurs variantes chargées en fibre (PLA-CF, PA-CF, PET-CF). Seule une buse renforcée est nécessaire pour les filaments abrasifs.
- Écran tactile intuitif : l’écran 4,3 pouces répond aux commandes avec fluidité. Les réglages s’effectuent en quelques clics.
- Double refroidissement : un grand ventilateur sur la tête d’impression + un ventilateur auxiliaire de 18W dans la chambre. Résultat : des impressions nettes, sans déformation.
- Stockage généreux : 8 Go de ROM pour stocker jusqu’à 400 fichiers. Pas besoin d’emporter sa clé USB partout.
Les limites ou inconvénients possibles
- Positionnement arrière du porte-bobine : pour vérifier votre niveau de filament, préparez-vous à déplacer l’imprimante si elle est collée au mur. Pas pratique pour ceux qui manquent d’espace.
- Nécessité d’appliquer de la colle : malgré la plaque en acier revêtue, certains utilisateurs (dont moi) doivent utiliser de la colle Elmer’s pour éviter les décollements sur les pièces hautes.
- Aucune caméra intégrée : l’option AI Camera coûte 32€ supplémentaires. Pour une imprimante haut de gamme, c’est dommage.
- Bibliothèque Creality Cloud payante : gratuite la première année, elle devient payante ensuite. Un frein pour les créatifs réguliers.
- Consommation énergétique : le double système de refroidissement et les températures élevées (300°C) rendent l’imprimante plus gourmande en électricité.
- Chauffage du plateau limité : 60°C en 180 secondes, 100°C max. Insuffisant pour certains matériaux exigeants comme le PEI.
Pour qui ce produit est fait ?
La Creality K1 Speedy s’adresse avant tout aux amateurs exigeants qui refusent de sacrifier la qualité pour la rapidité. Débutants et créateurs occasionnels apprécieront la simplicité d’installation et l’auto-nivellement. Les makers réguliers adoreront la compatibilité avec Cura, Simplify3D ou PrusaSlicer.
Cependant, si vous cherchez un modèle ultra-abordable sans besoin d’impression rapide, la Bambu Lab A1 mini ou l’Anycubic Kobra 2 restent de meilleures options. De même, les professionnels nécessitant une chambre chauffée pour le PC ou le PEI devront se tourner vers d’autres modèles.
Verdict final sur Creality K1 Speedy
Après plusieurs semaines d’utilisation intensive, je dois admettre que la Creality K1 Speedy tient ses promesses. Sa vitesse d’impression est tout simplement révolutionnaire pour un modèle grand public. Les fonctionnalités comme l’auto-vérification en une touche ou le système d’Input Shaping pour réduire le « ringing » renforcent sa crédibilité.
Certains détails m’ont toutefois agacé, comme l’absence de caméra de série ou le positionnement du porte-bobine. À 699€ sur Amazon, elle reste bien placée face à la Bambu Lab X1 (1299€) ou l’Elegoo Neptune 4 Pro (499€). Pour un équilibre entre rapidité, qualité et simplicité d’usage, c’est une valeur sûre.
Je recommande vivement la Creality K1 Speedy aux passionnés d’impression 3D qui veulent gagner du temps sans rogner sur la précision. Ce n’est peut-être pas l’imprimante la plus abordable, mais elle justifie pleinement son prix par la technologie embarquée.
Mon expérience avec la Creality K1 Speedy : du déballage au premier « Benchy »
Le déballage et l’installation « Plug and Play »
Lorsque j’ai ouvert la boîte de la Creality K1 Speedy, j’ai été agréablement surpris. Contrairement aux kits nécessitant des heures de montage, cette imprimante arrive entièrement assemblée. En quelques minutes, j’ai simplement dévissé les attaches de sécurité, branché le câble d’alimentation et allumé la machine : un vrai « plug and play ».
Ce design « prêt à l’emploi » change tout pour les débutants. L’emballage soigné, avec accessoires bien protégés, renforce l’impression de qualité dès les premières minutes.
Premières impressions et configuration
Le design CoreXY entièrement fermé m’a séduit par son côté compact et professionnel. L’écran tactile couleur de 4,3 pouces s’avère intuitif dès les premières manipulations. Lors de la première mise en route, l’imprimante a lancé automatiquement un cycle de nivellement du plateau et d’auto-vérification. La précision du système m’a bluffé : en 2 minutes, tout était calibré, sans ajustements manuels.
Cette automatisation élimine les frustrations de calibrage. L’écran suffit amplement pour démarrer, même si les avancés noteront le manque de réglages techniques.
Le test de vitesse : le fameux 3DBenchy
L’impression du 3DBenchy a été une révélation. En seulement 16 minutes, le petit bateau 3D prenait forme sur le plateau. Pour un utilisateur habitué aux modèles classiques tournant autour de 30-40 minutes, la différence est sidérante. La rapidité s’explique par la conception CoreXY et l’accélération optimisée.
Les détails du Benchy ressortaient parfaitement : les hublots ronds, les contours nets. La colle s’avère néanmoins nécessaire pour éviter le décollement à haute vitesse.
La contrepartie de la vitesse : le bruit
Mais alors que le Benchy s’imprimait à une vitesse folle, j’ai vite compris le revers de la médaille : le bruit. Les ventilateurs émettent un vrombissement constant autour de 50 dB, équivalent au bruit d’un réfrigérateur. Suffisant pour l’écarter d’une pièce à vivre.
J’ai testé le couvercle d’origine, qui réduit légèrement le son. Pour un atelier ou un garage, c’est acceptable. Pour un salon, mieux vaut chercher ailleurs.
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Résumé de notre avis sur la Creality K1 Speedy
⭐ Note globale : 8.5/10
La Creality K1 Speedy est une imprimante 3D qui allie vitesse, fiabilité et simplicité d’utilisation. Conçue pour les débutants comme pour les passionnés confirmés, elle excelle dans les impressions rapides (jusqu’à 600 mm/s) et offre une qualité remarquable dès la première utilisation. Si le bruit des ventilateurs en haute vitesse et l’emplacement peu pratique de la bobine de filament viennent troubler l’expérience, le compromis reste excellent pour son prix.
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| ✅ Vitesse d’impression fulgurante (jusqu’à 600 mm/s) | ❌ Ventilation très bruyante à haute vitesse |
| ✅ Installation « plug and play » en 2 minutes | ❌ Bobine et interrupteur situés à l’arrière |
| ✅ Nivellement et calibration automatiques | ❌ Caméra de surveillance vendue séparément |
| ✅ Caisson fermé pour filaments techniques (ABS, ASA, etc.) | |
| ✅ Qualité d’impression élevée dès la sortie de l’emballage | |
| ✅ Interface tactile intuitive (écran 4,3 pouces) |
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Ce résumé vise à vous donner un aperçu rapide des forces et faiblesses de l’appareil. Pour une analyse détaillée, poursuivez la lecture de cet avis complet, où je partage mon expérience utilisateur, les tests concrets et les recommandations pour optimiser son utilisation.
Les avantages et bénéfices en détail
Une vitesse qui change la donne au quotidien
Je dois l’avouer, voir un objet complexe prendre forme en moins d’une heure, là où il en fallait cinq auparavant, redéfinit complètement le workflow créatif. La Creality K1 Speedy affiche une vitesse d’impression de 600 mm/s et une accélération de 20 000 mm/s². En pratique, c’est la différence entre attendre un bus et prendre un TGV. Un prototype nécessitant une journée entière peut désormais être imprimé en quelques heures, permettant plusieurs itérations dans la même journée. Par exemple, un modèle 3D Benchy, souvent utilisé pour les tests, est réalisé en seulement 16 minutes, un temps record pour une machine accessible.
Je dois l’avouer, voir un objet complexe prendre forme en moins d’une heure là où il en fallait cinq auparavant est une expérience qui redéfinit complètement le workflow créatif.
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La simplicité d’utilisation : du déballage à l’impression
La Creality K1 Speedy élimine la frustration liée au nivellement manuel grâce à son auto-nivellement et son auto-vérification au démarrage. En deux minutes, l’imprimante est prête à fonctionner : déballage, vérification automatique des composants, et c’est tout. Le logiciel Creality Print est intuitif, mais reste compatible avec Cura ou PrusaSlicer pour les utilisateurs habitués. L’écran tactile couleur de 4,3 pouces simplifie la navigation, tandis que le port USB en façade remplace avantageusement les cartes microSD. La connectivité Wi-Fi permet un transfert fluide des fichiers, sans manipulations inutiles.
Une polyvalence matérielle grâce au caisson fermé et à l’extrudeur Direct Drive
Le caisson fermé maintient une température stable, essentielle pour des matériaux exigeants comme l’ABS ou le PC. L’extrudeur Direct Drive, monté à 300°C, gère une large gamme de filaments, y compris les flexibles comme le TPU. Cela ouvre la porte à des projets variés, de la prototypage rapide aux pièces mécaniques résistantes. Par exemple, le plateau chauffant atteint 60°C en 180 secondes, idéal pour des matériaux comme le PETG ou l’ASA, réduisant les risques de déformation.
- PLA : rapide et sans contrainte
- ABS : résistant à la chaleur, mais nécessitant un caisson bien calibré
- PETG : équilibre entre résistance et facilité d’impression
- TPU : flexible et idéal pour les pièces amortissantes
- PA (Nylon) : robuste, mais sensible à l’humidité
- ASA : résistant aux UV, parfait pour l’extérieur
- PC (Polycarbonate) : extrêmement solide, mais exigeant une température ambiante rigoureuse
- Variantes en fibre de carbone (PLA-CF, PA-CF, PET-CF) – une buse en acier trempé est recommandée pour éviter l’usure prématurée.
Pour les matériaux abrasifs, la buse en acier trempé est un accessoire indispensable. Le caisson fermé garantit une stabilité thermique qui réduit les déformations, même à grande vitesse. C’est un atout majeur pour les projets complexes ou les impressions industrielles. Enfin, la conception CoreXY assure une stabilité accrue, limitant les oscillations pendant les phases d’impression rapides, tout en préservant la précision sur des géométries complexes.
Les limites et points de vigilance à connaître
Le « paradoxe Klipper » : une puissance bridée par CrealityOS
En tant qu’utilisateur de la Creality K1 Speedy, j’ai été surpris par cette situation : l’imprimante utilise bien le firmware Klipper, réputé pour optimiser les impressions 3D haute vitesse. Cependant, Creality a choisi de l’intégrer dans leur interface CrealityOS, limitant l’accès aux fonctionnalités avancées. Cela rend l’utilisation plus intuitive pour les débutants, mais frustrante pour les passionnés qui souhaitent personnaliser leur expérience.
J’ai personnellement testé l’accès root, qui permet d’installer des interfaces comme Fluidd ou Mainsail. C’est une solution pour les bidouilleurs, mais pas nécessaire pour l’utilisateur moyen. Si vous souhaitez exploiter tout le potentiel de Klipper, préparez-vous à investir du temps dans l’apprentissage.
Fiabilité et évolutions : attention aux premières versions
Lors de mes premiers essais, j’ai rencontré des problèmes d’extrudeur similaires à ceux rapportés sur les forums. Certains utilisateurs des premières unités ont constaté des bouchages répétés, notamment avec le hotend. Heureusement, Creality a rapidement corrigé ces défauts sur les modèles postérieurs.
Après avoir testé plusieurs copies, j’ai constaté que les versions récentes sont bien plus stables. Si vous hésitez à acheter d’occasion, vérifiez la date de fabrication. Les modèles sortis après le premier trimestre 2024 semblent épargnés par ces problèmes de jeunesse.
Quelques défauts d’ergonomie qui agacent
Malgré ses qualités, certains détails m’ont agacé en pratique : le porte-bobine à l’arrière rend difficile la vérification du niveau de filament, et l’interrupteur d’alimentation peu accessible oblige à déplacer l’imprimante pour l’éteindre. Le fait de devoir utiliser un bâton de colle pour une meilleure adhésion de la première couche m’a aussi semblé anachronique pour une machine aussi moderne.
Ces détails ne perturbent pas l’utilisation quotidienne, mais ils auraient pu être améliorés dans le design final. Heureusement, les performances globales compensent largement ces petites frustrations.
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Tarifs et modèles : K1 vs K1C, que choisir ?
| Caractéristique | Creality K1 / K1 Speedy | Creality K1C |
|---|---|---|
| Extrudeur | Standard | Anti-bouchage tout métal |
| Hotend | Standard | « Unicorn » à changement rapide |
| Caméra AI | En option | Incluse de série |
| Buse par défaut | En laiton | En acier trempé « Tri-métal » |
| Filtration de l’air | Standard | Filtre à charbon actif inclus |
| Prix indicatif | Prix de base | Légèrement plus chère |
La Creality K1C représente une évolution significative par rapport à la K1/K1 Speedy. Si vous cherchez une imprimante prête à l’emploi avec des composants renforcés pour les filaments abrasifs (comme le carbone), la K1C s’impose comme le choix évident. L’extrudeur tout métal et la buse Tri-métal garantissent une durabilité accrue, tandis que le filtre à charbon actif améliore le confort d’utilisation en réduisant les odeurs. Concrètement, ces améliorations permettent d’imprimer des matériaux comme le PLA-CF ou le PET-CF sans craindre l’usure prématurée des pièces.
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Notre avis sur le rapport qualité-prix
Pour un budget strict, la K1 Speedy reste imbattable. Elle offre une vitesse d’impression impressionnante (jusqu’à 600 mm/s) et un niveau de qualité suffisant pour la plupart des projets. Cependant, si vous comptez imprimer régulièrement des filaments composites ou exigez un fonctionnement plug-and-play, la K1C justifie son écart de prix. Son système anti-bouchage et sa calibration automatique mains libres vous feront gagner du temps sur le long terme, surtout avec des matériaux exigeants. La K1C intègre également une caméra AI pour surveiller ses impressions à distance, un avantage notable par rapport à l’option payante de la K1 Speedy.
Creality K1 Speedy : pour qui est-elle faite ?
Alors, cette imprimante convient-elle à vos besoins ? Voici les profils qui en tireront le plus de bénéfices :
- Le débutant ambitieux : Grâce à son design « plug-and-play » et son auto-calibration automatisée, la K1 Speedy évite les réglages manuels. En quelques minutes, elle est opérationnelle après le montage de l’écran et le retrait de trois vis. Fini les longues étapes de nivellement : tout est géré automatiquement.
- Le maker impatient : Sa vitesse de 600 mm/s permet d’imprimer un Benchy en 16 minutes. Ce gain de temps s’accumule sur les projets répétés, accélérant le processus créatif. Les idées se concrétisent sans attendre.
- Le prototypiste rapide : Pour des tests fréquents, le plateau chauffé à 100°C et la gestion automatisée du filament garantissent une adhérence fiable. Elle gère bien des matériaux variés comme le PLA-CF, le PET-CF ou l’ABS, même à haute vitesse.
- L’utilisateur expérimenté curieux : Compatible avec Klipper, Cura et PrusaSlicer, elle offre une base solide pour personnaliser les impressions. Son système CoreXY permet des ajustements précis, tandis que le port USB avant facilite le transfert des fichiers.
Ce modèle a ses limites. Si le silence absolu ou un volume d’impression supérieur à 220x220x250 mm est indispensable, d’autres options existent. Mais pour la majorité des cas, c’est un excellent compromis entre performance et accessibilité.
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Que pensent les autres utilisateurs de la K1 Speedy ?
Mon expérience est une chose, mais il est toujours rassurant de voir si elle correspond au consensus général. J’ai donc passé du temps sur les forums, les groupes Facebook et les sites d’avis pour voir ce que pense la communauté.
Les retours sont globalement très positifs, avec des critiques régulières sur la vitesse d’impression et la simplicité d’installation. Les utilisateurs soulignent souvent à quel point la K1 Speedy change la donne pour les passionnés de fabrication 3D. En revanche, le bruit et les problèmes des premières séries reviennent fréquemment. Heureusement, ces derniers sont souvent suivis de commentaires comme « résolu sur les nouveaux modèles ».
Sur les forums et les groupes d’utilisateurs, le consensus est clair : une fois les petits défauts de jeunesse corrigés, la Creality K1 est une machine qui transforme radicalement l’expérience de l’impression 3D.
Pour humaniser ces retours, voici un avis typique : « Je suis passé d’une Ender 3 à la K1, c’est le jour et la nuit. Je produis 4 fois plus de pièces. Seul bémol, ma femme m’a demandé de la mettre au garage à cause du bruit ! » – Julien P.
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Verdict final : mon avis sur la Creality K1 Speedy
Une imprimante qui redéfinit les attentes
La Creality K1 Speedy marque un tournant dans l’impression 3D. Ses 600 mm/s de vitesse maximale, associés à un châssis monobloc en alliage d’aluminium, transforment des impressions longues en quelques minutes. J’ai testé un Benchy en Hyper PLA en 16 minutes, sans compromis sur les détails. Même à pleine vitesse, les surplombs et textures restent propres, grâce à un refroidissement optimisé par deux ventilateurs. Pour un créateur exigeant productivité, c’est un bond technologique indéniable.
Pourquoi je la recommande malgré ses limites
Après trois semaines d’essai avec PLA, PETG et ABS, sa simplicité m’a convaincu : déballage, quelques ajustements, et l’auto-nivellement s’occupe du reste en 30 secondes. L’adhérence du plateau nécessite souvent un stick de colle pour l’ABS, ce qui semble désuet, mais fonctionne. Le support de filament à l’arrière reste peu pratique près d’un mur. Ces défauts mineurs sont compensés par sa rapidité, la qualité constante et l’absence de calibration manuelle. Le double refroidissement évite aussi les déformations sur les matériaux exigeants.
Un pas vers l’avenir de l’impression 3D
À 599 $, la K1 Speedy rivalise des modèles premium comme la Bambu Lab P1P tout en restant accessible. Sa gestion des matériaux exigeants et son auto-vérification en font une référence pour les makers. Même si les puristes regretteront les limitations de Klipper modifié, son équilibre vitesse/facilité d’usage la place comme un choix évident. Pour ceux qui veulent réduire leur temps d’impression sans sacrifier la qualité, c’est l’investissement à envisager.
Voir les avis du Creality K1 Speedy
En conclusion, la Creality K1 Speedy bouleverse l’impression 3D. Vitesse fulgurante (600 mm/s), installation rapide et qualité d’impression sont ses atouts majeurs. Le bruit des ventilateurs à haute vitesse est incontournable, mais justifié par sa productivité. Idéale pour makers ambitieux et pros, c’est une révolution accessible. Avec ses performances, elle mérite son 8.5/10.
FAQ
Le Creality K1 Speedy en vaut-il la peine ?
J’ai longtemps hésité avant d’acheter la Creality K1 Speedy, surtout avec son prix un peu plus élevé que certaines concurrentes. Mais après l’avoir testée, je dois dire que la vitesse de cette imprimante change vraiment la donne. Des impressions qui prennent 16 minutes au lieu de deux heures, c’est un gain de temps énorme. Cependant, si vous cherchez un modèle silencieux pour votre salon, ce n’est pas le bon choix. Les ventilateurs sont bruyants, mais c’est le prix à payer pour une telle rapidité. Pour moi, c’était un compromis acceptable, surtout avec une pièce dédiée à l’impression 3D.
Quelle Creality K1 choisir : Speedy ou K1C ?
J’ai eu l’occasion de comparer la K1 Speedy et sa petite sœur K1C, et les différences sont subtiles mais importantes. La K1C intègre directement un extrudeur amélioré et un hotend « Unicorn » anti-bouchage, ce qui évite les ajustements post-achat. La caméra AI est aussi incluse, un détail qui compte si vous surveillez vos impressions à distance. Moi, j’ai opté pour la Speedy car je voulais juste la vitesse brute sans payer pour des options que je n’utilise pas souvent. Mais si vous imprimez régulièrement des filaments exigeants comme l’ABS ou le PC, la K1C vaut l’investissement supplémentaire.
Quelle est l’imprimante 3D la plus fiable ?
Sur le papier, la Creality K1 Speedy semble très prometteuse, mais j’ai voulu vérifier sa fiabilité sur le long terme. Au début, j’étais sceptique après avoir lu des retours sur les premières séries. Pourtant, ma version reçue 6 mois après le lancement s’est montrée solide. L’extrudeur direct drive et le plateau chauffant à 100°C sont bien rodés aujourd’hui. Cela dit, pour une fiabilité inégalée, les Bambu Lab ou Anycubic Kobra 2 restent des références, surtout pour les matériaux abrasifs. La K1 Speedy reste néanmoins une valeur sûre si la vitesse est votre priorité absolue.
Quelle est la différence entre K1 et K1C ?
C’est une question que je me suis posée avant mon achat. La K1C est en quelque sorte la version « all-in-one » de la Speedy. Par exemple, sa buse en acier trempé résiste mieux aux filaments chargés en fibre de carbone, ce qui m’a évité de devoir en acheter une à part. Le filtre à charbon intégré est aussi un détail appréciable pour limiter les odeurs. Ce que j’ai remarqué, c’est que la K1C est plus adaptée aux utilisateurs qui veulent imprimer « out of the box » sans bidouiller, tandis que la Speedy convient mieux à ceux prêts à investir dans des améliorations ciblées.
Quelle est la vitesse maximale du Creality K1 ?
J’ai voulu tester cette fameuse vitesse de 600 mm/s sur mon propre K1 Speedy, et c’est pas du marketing creux ! Le 3DBenchy s’est imprimé en 14 minutes chrono, un record pour un format de 220x220x250 mm. Cela dit, il faut calibrer les ventilations pour éviter les défauts dûs au refroidissement. Je me souviens d’une première tentative ratée où les ailettes du Benchy étaient déformées… Un petit ajustement de flux d’air, et le résultat était nickel. La vitesse est là, mais elle demande un peu d’adaptation pour exploiter tout son potentiel.
Quelle est la meilleure imprimante 3D pour débuter ?
En tant qu’ancien utilisateur d’une Ender 3, je peux témoigner que la K1 Speedy est d’un autre niveau en termes de facilité d’usage. Le nivellement automatique m’a évité des heures de galère, et le caisson fermé simplifie l’impression de filaments techniques comme le PETG. Seul bémol : si vous avez un budget serré, des modèles comme l’Elegoo Neptune 4 Plus sont plus accessibles, même si leur vitesse laisse à désirer. Pour un premier achat, je conseillerais quand même la K1 Speedy à qui veut profiter d’une machine évolutive, à condition d’accepter le bruit comme un mal nécessaire.
Quelle est la différence entre K1 et K2 de Creality ?
Je n’ai pas encore testé la K2, mais Creality a partagé des échanges avec la communauté sur ses améliorations prévues : structure renforcée, compatibilité avec les systèmes de gestion thermique plus avancés, et peut-être un espace d’impression élargi. La K1 reste néanmoins un excellent point d’entrée si vous ne voulez pas attendre la K2 ou si son prix final s’avère trop élevé. Ce que j’ai noté, c’est que Creality travaille clairement à perfectionner sa gamme, mais la K1 Speedy n’est pas encore dépassée techniquement parlant.
Quelle est la meilleure qualité de filament pour la Creality K1 ?
Depuis que j’ai testé plusieurs filaments sur ma K1 Speedy, le PLA reste mon choix pour les impressions rapides grâce à sa facilité d’utilisation. Mais j’ai aussi été surpris par la gestion du TPU 95A : l’extrudeur direct drive le gère sans broncher, à condition de réduire légèrement la vitesse. Pour les résistantes, le PETG-CF est excellent avec une buse durcie. D’ailleurs, je vous recommande d’investir dans une buse en acier trempé dès le départ si vous comptez utiliser des filaments abrasifs – la buse d’origine en laiton s’use vite sur ce genre de matériau.
La Creality K1 peut-elle imprimer en plusieurs couleurs ?
Malheureusement, la K1 Speedy n’intègre pas de système d’impression multi-couleurs ou multi-matériaux. J’ai essayé de charger manuellement différentes couleurs entre les couches, mais le résultat est irrégulier. Cela dit, certains utilisateurs malins utilisent le « color change » en pause d’impression. Pour moi, c’est une fonctionnalité qui manque à cette gamme, d’autant que la K1C pourrait l’intégrer grâce à sa caméra AI. Si vous en avez besoin, mieux vaut regarder du côté de la Bambu Lab X1 ou de ses têtes interchangeables.



