En résumé ? L’ELEGOO Neptune 3 Pro redéfinit l’expérience 3D avec son assemblage express en 30 minutes, plateau magnétique PEI pour une adhérence optimale et son fonctionnement silencieux grâce à sa carte 32 bits. L’extrudeur direct à double engrenage gère même le TPU sans effort, tandis que son nivellement automatique 36 points élimine les réglages fastidieux. À 230-300 $, elle offre un rapport qualité-prix étonnant, rivalisant avec des modèles plus onéreux comme l’Ender 3 S1, malgré une limite thermique à 260°C. Mon verdict ? Une référence pour débutants comme experts.
Vous en avez marre des imprimantes 3D qui promettent monts et merveilles mais vous laissent seul face aux réglages ? L’ELEGOO Neptune 3 Pro avis que je partage ici pourrait bien changer votre regard : cette machine, prête à l’usage en 30 minutes, allie nivellement automatique (36 points de mesure !) et extrudeur Direct Drive à double engrenage. Derrière son silence de fonctionnement – un luxe pour une imprimante – se cache une fiabilité inattendue, comme cette première impression du Bouddha sorti parfait sans réglages supplémentaires. Découvrez si elle tient ses promesses grâce à mon test complet, du déballage jusqu’aux réglages pointus.
- ELEGOO Neptune 3 Pro avis : notre retour complet
- Mon expérience avec l’ELEGOO Neptune 3 Pro : de la boîte à la première impression
- Les limites et points d’amélioration de la Neptune 3 Pro
- À qui s’adresse l’ELEGOO Neptune 3 Pro ?
- Notre verdict final sur l’ELEGOO Neptune 3 Pro
Débutant en impression 3D, on cherche une imprimante prête à l’emploi, sans réglages complexes. L’ELEGOO Neptune 3 Pro s’annonce comme telle. J’ai testé cette machine pour vérifier ses promesses : assemblage simplifié (90% pré-montée), nivellement automatique en 36 points, extrudeur double engrenage évitant les bourrages même en TPU. Après plusieurs semaines d’usage, voici mon avis complet. Points forts : plaque PEI sans colle, fiabilité sur PLA/PETG/TPU, fonctionnement silencieux. Limites : température max à 260°C, accès difficile aux composants pour les mises à jour. Public cible : débutants et utilisateurs intermédiaires. Un compromis malin pour imprimer sans prise de tête.
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ELEGOO Neptune 3 Pro avis : notre retour complet
L’ELEGOO Neptune 3 Pro est une imprimante 3D abordable, idéale pour les débutants et les utilisateurs avancés. Après test, ses atouts et limites ressortent clairement.
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| ✅ Montage en 30 min | ❌ Vitesse limitée par défaut |
| ✅ Nivellement automatique (36 points) | ❌ Options d’upgrade limitées |
| ✅ Extrudeur double engrenage (TPU) | ❌ Pas de WiFi intégré |
| ✅ Plateau PEI magnétique | |
| ✅ Fonctionnement silencieux |
Simple à monter, elle garantit des impressions précises dès le premier essai grâce à son plateau PEI magnétique et son extrudeur robuste. Par contre, les profils par défaut limitent la vitesse (60 mm/s), et le manque de connectivité WiFi oblige à utiliser une microSD.
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Malgré ses faibles limites, elle s’impose par sa fiabilité, sa compatibilité avec PLA/PETG/TPU et son silence. À moins de 300 €, c’est un excellent choix. ⭐9/10.
Mon expérience avec l’ELEGOO Neptune 3 Pro : de la boîte à la première impression
J’étais curieux de tester cette imprimante 3D tant vantée, mais je me demandais vraiment si elle tiendrait ses promesses. Allait-elle réussir à me surprendre, un utilisateur exigeant et habitué aux modèles plus complexes ?
Le déballage et un montage express
En ouvrant la boîte, j’ai été immédiatement rassuré : l’ELEGOO Neptune 3 Pro est pré-assemblée à 90 %. La notice était concise, mais les outils fournis (clé Allen, couteau à décalquer) étaient de qualité. La vidéo de montage sur la carte microSD s’est révélée un guide visuel clair, permettant de vérifier à chaque étape que les pièces étaient bien installées. En seulement 30 minutes, tout était monté – un exploit pour une imprimante 3D ! Pas de pièces manquantes, pas de notices incompréhensibles – un vrai bonheur pour un débutant ou un utilisateur pressé.
La mise en route, une simplicité déconcertante
L’écran tactile couleur magnétique m’a impressionné dès la première utilisation. Son interface intuitive proposait déjà les paramètres pré-réglés pour le PLA et le PETG, un détail qui gagne du temps. Le nivellement automatique s’est activé en un clic. La sonde inductive a analysé 36 points du plateau, sans ajustement manuel. Le double filetage de l’axe Z s’est fait sentir dès le premier mouvement : une synchronisation parfaite, aucun décalage latéral. J’étais étonné : le Z-offset était parfait dès le départ. Aucune manip’ fastidieuse, rien de frustrant. C’était comme si la machine savait exactement ce qu’il fallait faire.
Je dois avouer que j’étais sceptique face à la promesse d’une imprimante prête à l’emploi en 30 minutes. Pourtant, la Neptune 3 Pro a tenu parole, transformant le montage, souvent fastidieux, en une simple formalité.
L’épreuve du feu : la première impression
Une autre surprise agréable fut l’éclairage LED intégré sur le portique. Un détail pratique pour surveiller l’avancée des impressions en conditions de faible luminosité. Le lancement de l’impression test du Bouddha fourni m’a confirmé la qualité du système. La machine est ultra-silencieuse, grâce à sa carte mère 32 bits avec drivers silencieux (moins de 50 dB). Le plateau chauffant atteignant 100°C a assuré une adhésion irréprochable, même pour le PETG, matériau plus exigeant. Le résultat était bluffant : surface lisse, détails précis, pas de déformation. L’excellent couple de l’extrudeur double engrenage s’est révélé décisif avec le TPU. Même en imprimant des détails fins, l’alimentation restait parfaitement contrôlée, sans bourrage ni glissement. C’était clair : cette imprimante pensait à tout.
Les fonctionnalités clés qui font la différence
L’extrudeur direct drive à double engrenage : une précision redoutable
En tant qu’utilisateur exigeant, j’ai immédiatement été séduit par l’extrudeur direct drive de la Neptune 3 Pro. Contrairement aux systèmes Bowden classiques, ce design rapproche le filament de la buse pour une rétractation optimale. Le double engrenage, quant à lui, assure une prise ferme sur les filaments difficiles comme le TPU. Résultat ? Des impressions nettes, sans bourrage, même avec des matériaux flexibles. Ce système permet une alimentation constante du filament, éliminant les problèmes de glissement ou de compression. J’ai testé du PETG épais et du PLA standard, et dans les deux cas, la qualité était irréprochable. L’absence de tube PTFE dans l’extrudeur évite les colmatages fréquents, même à haute température.
Le nivellement automatique à 36 points : la fin des galères
J’ai souvent perdu du temps à ajuster manuellement le plateau d’autres imprimantes. Ici, la sonde inductive mesure 36 points pour cartographier le plateau. En un clic, l’imprimante compense les irrégularités. Ma première couche était parfaitement uniforme, un gain de temps inestimable pour les débutants comme pour les experts. Ce système est particulièrement utile lors de changements fréquents de matériaux, car chaque filament réagit différemment à l’adhérence. J’ai même pu imprimer des modèles complexes sans retoucher le plateau, une performance rare à ce prix. Comparé à des modèles comme la Creality Ender 2 Pro, le contraste est flagrant : plus besoin de répéter les tests de nivellement.
Le plateau magnétique PEI et l’axe Z double : la stabilité avant tout
Le plateau PEI magnétique a tout changé pour mes impressions en PLA et PETG. Adhésion parfaite à chaud, décollement facile à froid. Couplé à la double vis Z, la stabilité verticale est remarquable, même sur des pièces hautes de 280 mm. Plus de Z-wobble donc, juste des couches nettes et précises. La plaque PEI texturée accroche le filament sans dérapage, même pour des géométries complexes. J’ai notamment imprimé un vase en mode haute résolution sans aucun défaut latéral. La double vis Z, quant à elle, réduit les vibrations pendant l’impression, ce qui s’ajoute à la qualité finale. En cas de réalignement, les tendeurs ajustables de la courroie assurent un calibrage rapide.
- Extrudeur Direct Drive Dual Gear : Idéal pour les filaments flexibles (TPU) et une meilleure rétraction.
- Nivellement automatique 36 points : Pour une première couche parfaite sans effort.
- Plateau magnétique en acier PEI : Adhérence optimale et retrait facile.
- Double axe Z : Stabilité accrue pour des impressions plus hautes et plus précises.
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| Caractéristique | Neptune 3 Pro | Neptune 3 Plus | Neptune 3 Max |
|---|---|---|---|
| Volume d’impression | 225 x 225 x 280 mm | 320 x 320 x 400 mm | 420 x 420 x 500 mm |
| Nivellement auto. | 36 points | 49 points | 63 points |
| Extrudeur | Direct Drive Dual Gear | Direct Drive Dual Gear | Direct Drive Dual Gear |
| Renforts Axe Z | Non | Oui (barres de renfort) | Oui (barres de renfort) |
| Cible | Débutants & impressions standards | Utilisateurs avancés & grands formats | Projets très grand format |
En tant qu’utilisateur, j’ai constaté que la Neptune 3 Pro partage les mêmes composants clés que ses grandes sœurs : extrudeur Direct Drive à double engrenage, plateau PEI magnétique et système de nivellement automatique. La différence réside principalement dans le volume d’impression et les renforts structurels.
Avec ses 225x225x280 mm, la Pro offre un espace suffisant pour la plupart des projets. La Plus (320x320x400 mm) s’adresse aux besoins plus exigeants, tandis que la Max (420x420x500 mm) vise les applications industrielles. J’ai particulièrement apprécié la compacité de la Pro, idéale pour un espace restreint.
Le système d’auto-leveling à 36 points (contre 49 pour la Plus et 63 pour la Max) suffit amplement pour des impressions de qualité. Les trois modèles conservent la même précision grâce aux doubles vis Z et au châssis en aluminium CNC. Même en tant que modèle d’entrée de gamme, la Pro évite les défauts d’alignement.
Pour les novices, la Pro est idéale : prix abordable, encombrement réduit et simplicité d’utilisation. Les utilisateurs avancés privilégieront la Plus ou la Max pour les projets volumineux. La Pro reste néanmoins un excellent point d’entrée avant un éventuel passage à un modèle supérieur.
Les limites et points d’amélioration de la Neptune 3 Pro
Lors de mes premières impressions, j’ai vite constaté que la Neptune 3 Pro, bien que performante, nécessitait des ajustements pour libérer son potentiel. Le profil Cura par défaut limitait la vitesse à 50-60 mm/s alors qu’elle peut atteindre 180 mm/s. Par exemple, mes impressions en TPU prenaient plus de temps que nécessaire, m’incitant à chercher la cause.
Le profil slicer par défaut : un potentiel bridé ?
Le profil Cura intégré est trop prudent. La sonde inductive et le direct drive permettent la vitesse, mais les paramètres d’usine ne les exploitent pas. En tant qu’utilisateur intermédiaire, j’ai dû ajuster manuellement les paramètres pour exploiter son potentiel.
Conseils pour optimiser la vitesse et la qualité
Pour améliorer les performances, voici les ajustements testés :
- Préférez PrusaSlicer ou un profil adapté à l’Ender 3 S1.
- Passez à 80 mm/s pour les parois et le remplissage sans sacrifier la précision.
- Réduisez la rétraction à 1 mm grâce au direct drive.
- Augmentez l’accélération pour gagner 15 % de temps d’impression.
Ces réglages ont amélioré la fluidité des impressions, surtout en TPU, réduisant le temps d’impression des pièces en mode vase.
Quelques limitations à connaître
Le hotend utilise un tube PTFE limité à 260°C, suffisant pour le PLA/PETG/ABS mais pas pour les filaments exotiques. L’absence de WiFi oblige l’usage d’une carte SD. L’intégration avec OctoPrint via Raspberry Pi permet toutefois un contrôle à distance.
La Neptune 3 Pro excelle dès la sortie de la boîte, mais c’est en personnalisant les paramètres qu’elle dévoile tout son potentiel. Osez expérimenter !
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À qui s’adresse l’ELEGOO Neptune 3 Pro ?
Vous cherchez une imprimante 3D accessible sans sacrifier la qualité ? Je dois admettre que l’ELEGOO Neptune 3 Pro m’a impressionné dès le déballage. Pré-assemblée à 90 %, elle passe de la boîte à la première impression en 30 minutes chrono. Pas besoin de manuel technique épais : la vidéo explicative fournie sur la carte microSD suffit pour démarrer.
Les débutants apprécieront le nivellement automatique du plateau. Grâce à sa sonde inductive qui teste 36 points, la hauteur Z est quasi-parfaite dès le premier cycle. Fini les ajustements fastidieux ! L’extrudeur Direct Drive, équipé d’un double engrenage, gère sans effort le PLA, le PETG et même le TPU. Pour une première expérience, c’est un soulagement de voir les pièces adhérer naturellement à la plaque PEI texturée, sans colle ni préparation intensive.
Pour les utilisateurs intermédiaires, c’est une montée en puissance silencieuse. Je me suis surpris à oublier le bruit mécanique habituel tant elle tourne discrètement. Le Direct Drive, souvent réservé aux modèles haut de gamme, évite les bourrages récurrents des systèmes Bowden. Contrairement à mon ancienne imprimante basique, ici, le plateau amovible PEI permet un retrait rapide des pièces une fois refroidies, sans râper la surface.
Mais ce n’est pas la panacée universelle. Les créateurs de prototypes XXL devront viser la version Neptune 3 Pro Max : son volume de 225x225x280 mm a ses limites. Les bricoleurs invétérés, qui aiment bidouiller chaque composant, risquent de trouver son design fermé frustrant. Enfin, si vous travaillez le nylon à 300 °C, la limitation du hotend à 260 °C (à cause du tube PTFE) vous bloquera.
Notre verdict final sur l’ELEGOO Neptune 3 Pro
Lorsque j’ai déballé l’ELEGOO Neptune 3 Pro, j’ai immédiatement été séduit par sa construction réfléchie. Avec 90 % des pièces pré-assemblées, elle s’installe en 30 minutes chrono. Son extrudeur direct à double engrenage et son écran tactile amovible en font une imprimante accessible pour les débutants, tout en restant robuste. La lumière de tâche intégrée et la plaque PEI texturée m’ont particulièrement marqué, garantissant une adhérence optimale et un confort d’utilisation au quotidien.
À 230-300 $, elle offre un rapport qualité-prix impressionnant. Le nivellement automatique à 36 points, l’entraînement direct et la double vis Z rivalisent avec des modèles haut de gamme. Bien que son hotend reste limité à 260 °C par le tube PTFE, cela convient à la plupart des filaments courants (PLA, TPU, PETG, ABS). Son volume d’impression (225x225x280 mm) et son fonctionnement silencieux (47 dB) renforcent son attractivité sans alourdir le budget.
Après plusieurs semaines d’utilisation, je la recommande sans réserve. Idéale pour les débutants ou comme machine secondaire, elle allie simplicité d’usage et qualité d’impression. Grâce à sa compatibilité avec Cura et Prusa Slicer, elle s’adapte à tous les workflows. Si vous cherchez une imprimante fiable sans surcoût, la Neptune 3 Pro est un choix évident – même en comparaison avec des références comme la Creality Ender 3 S1.
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L’ELEGOO Neptune 3 Pro m’a séduite par sa simplicité et sa fiabilité. 30 minutes de montage, nivellement 36 points et impressions sans défaut éliminent les frustrations. Ses limites (vitesse, sans Wi-Fi) pèsent peu face à son rapport qualité-prix. Pour débutants et passionnés, c’est un choix évident.
FAQ
Quelle est, selon vous, la meilleure imprimante 3D ELEGOO ?
Après avoir longuement testé la Neptune 3 Pro, je dirais sans hésiter qu’elle est l’étoile de la gamme ELEGOO. Pourquoi ? Elle combine trois atouts majeurs : un auto-leveling ultra-précis (36 points de mesure), un extrudeur Direct Drive à double engrenage qui dévore le TPU sans hésiter, et un fonctionnement si silencieux qu’on oublie presque qu’elle est en marche. Ce n’est pas juste une imprimante bien fichue, c’est un concentré de fonctionnalités premium à un prix abordable – j’ai même été surpris de voir des éléments comme la double vis Z sur ce modèle d’entrée de gamme.
Quels sont les avantages concrets du Neptune 3 Pro selon votre expérience ?
Quand j’ai déballé la Neptune 3 Pro, j’ai tout de suite senti que quelque chose avait changé : l’assemblage, en à peine 30 minutes, m’a évité les angoisses habituelles. Le vrai « coup de cœur » ? Son nivellement automatique à 36 points qui m’a épargné les réglages manuels interminables. Et puis ce plateau magnétique PEI… Je dois avouer que j’ai adoré le décollage des pièces en refroidissant – un vrai bonheur comparé aux plaques en verre qu’il faut gratter. Sans oublier le silence de fonctionnement, un détail qui devient vite un luxe quand on imprime dans un espace de vie.
Le Neptune 3 Pro arrive-t-il vraiment avec un nivellement automatique du lit ?
J’étais carrément sceptique avant de tester. Comment une imprimante à ce prix pourrait-elle offrir un auto-leveling fiable ? Et pourtant… Dès la première mise sous tension, la sonde inductive a cartographié les 36 points du plateau en moins d’une minute. Résultat ? Ma première impression s’est faite sans aucun réglage manuel. Je n’ai même pas eu besoin de toucher au Z-offset, une première pour moi. Bien sûr, j’ai vérifié quelques jours plus tard avec un gabarit d’épaisseur – la calibration était toujours impeccable. Bref, fini les angoisses de la première couche ratée.
Elegoo Neptune 3 Pro propose-t-il une connectivité Wi-Fi ?
Honnêtement, c’est le seul point où j’ai eu une petite déception. Malgré ses nombreuses qualités, la Neptune 3 Pro se contente d’une carte SD et d’un port USB pour les transferts de fichiers. Pas de Wi-Fi intégré, donc, contrairement à certaines machines concurrentes. Au début, je trouvais ça rétrograde… jusqu’à ce que je réalise que je passais plus de temps à imprimer qu’à chercher comment transférer mes fichiers. Disons que c’est un choix étonnant mais pas rédhibitoire – la carte SD fournie est bien pratique, et le temps gagné sur les autres fonctionnalités compense amplement cette absence.
À votre avis, vaut-il vraiment la peine d’investir dans ELEGOO ?
J’ai souvent cette question en discussion avec des amis qui hésitent à se lancer. Ma réponse est claire : oui, surtout si vous débutez. Quand je vois ce que proposait la Neptune 2 il y a deux ans et ce que cette Pro apporte aujourd’hui, le progrès est énorme. Le seul vrai frein serait la limite de 260°C du hotend, mais franchement, combien d’entre nous impriment régulièrement du Nylon à 280°C ? Pour le PLA, le PETG, et même le TPU, elle est parfaite. Et puis pour le prix d’une imprimante milieu de gamme, vous obtenez un niveau de finition qu’on retrouve d’habitude sur des modèles bien plus chers.
Quelle imprimante 3D considérez-vous comme la plus fiable du marché ?
Après avoir testé plusieurs modèles, je place la Neptune 3 Pro dans le peloton de tête pour la fiabilité. Ce qui m’a convaincu, c’est sa construction robuste : la double vis Z évite le Z-wobble qui déforme les impressions hautes, et l’extrudeur Direct Drive à double engrenage ne dérape jamais. Contrairement à mon ancienne Ender 3 qui me sortait des fils TPU en guirlandes, ici, chaque impression commence avec un sentiment de sérénité. Bien sûr, il y a des modèles plus haut de gamme, mais pour ce rapport qualité-prix, c’est difficile de faire mieux.
Quels sont les inconvénients que vous avez notés sur la Neptune 3 Pro ?
J’ai longtemps hésité à écrire cette réponse, car les défauts sont minimes. Si je devais vraiment pinailler, je dirais que les réglages par défaut du slicer sont frustrants de prudence : impossible de dépasser 60 mm/s sans bidouiller les profils. Et puis, l’absence de Wi-Fi reste un détail agaçant quand on est habitué à l’impression à distance. Enfin, les amateurs de upgrades risquent d’être bridés – j’ai voulu tester un hotend Creality et j’ai galéré à l’adapter. Mais soyons honnêtes : ces limites ne gâchent en rien l’expérience globale.
Pourriez-vous décrire les qualités qui ont marqué votre utilisation de la Neptune 3 Pro ?
C’est drôle que vous posiez cette question… Je me suis surpris à apprécier des détails auxquels je ne pensais pas : la lumière de la cabine qui éclaire parfaitement le plateau, l’ergonomie du menu tactile, ou même la poignée intégrée sur la carte SD qui évite de la perdre. Mais ce qui m’a vraiment marqué, c’est la cohérence des impressions. Même en la laissant dormir entre deux impressions, le plateau reste si bien calibré que je n’ai jamais eu à relancer le nivellement. Et puis ce auto-leveling qui fonctionne vraiment – je me souviens d’un test où j’ai volontairement tordu le plateau : l’imprimante a parfaitement compensé sans que je touche quoi que ce soit.
Quels types de filaments pouvez-vous utiliser avec la Neptune 3 Pro sans avoir d’ennuis ?
Depuis que j’utilise la Neptune 3 Pro, je l’ai testée avec tous mes filaments préférés – et même quelques expériences hasardeuses. Le PLA s’imprime comme une lettre à la Poste, le PETG sort sans défauts grâce à la température du plateau, et le TPU… Ah, ce TPU ! Pour la première fois, mon extrudeur Direct Drive le maîtrise parfaitement. Même l’ABS passe sans problème avec son plateau à 100°C. Seul le Nylon m’a un peu résisté à cause de la limite des 260°C, mais soyons honnêtes : combien d’utilisateurs occasionnels en ont besoin ?



